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Fiche Pays – Oman

Oman, les enjeux d’un territoire isolé qui s’ouvre sur le monde contemporain

1. Introduction

Oman,  ou Sultanat d’Oman de son nom officiel, est situé au sud-Est de la péninsule Arabique, aux cotés de Yémen et des Emirats Arabes Unis. Le territoire est bordé par la Mer d’Arabie, et détient notamment la clé d’accès au Golfe Persique grâce à son contrôle sur le détroit d’Ormuz. Son chef, Qabous bin Saïd al-Saïd, incarne la figure de sultan depuis 1970 et incarne la naissance d’une Etat et d’une nation moderne, qui sort petit a petit de son isolement géographique, tout en faisant face aux enjeux de l’ouverture au monde contemporain, tant économiquement, que politiquement et culturellement. Voici une brève synthèse de la situation économique, politique et culturelle à Oman, agrémentée d’explications et de données historiques, sans lesquels il est impossible de comprendre l’ampleur des changements établis dans le pays, qui est aujourd’hui une destination touristique prisée, un Etat moderne et un concurrent économique sérieux et ouvert mondialement.

En Oman, la langue officielle parlée est l’Arabe, qui est le quatrième idiome parlé dans le monde (en termes de nombre d’individus). A cette langue majoritairement présente au moyen orient, s’ajoutent l’Anglais parlé mondialement et le Swahili. La population estimée d’Oman est d’environ 4 400 000 habitants selon les données du site de la diplomatie française, un nombre qui admettait plus de 2 millions d’expatriés en 2015. Mascate, la capitale du pays est situé au Nord, et sur le littoral, de même que les autres villes principales telles que Salalah, Sour et Sohar. La même année, le Produit Intérieur Brut du Sultanat d’Oman atteignait 77,8 milliards de dollars, dont plus de 60% provient de l’industrie d’hydrocarbures alors que l’agriculture n’en représente qu’1%. La monnaie utilisée dans le pays est le Rial Omanais.

2. Évaluation des risques politiques

L’arrivée du Sultan Qabous en 1970, prenant la place de son père au pouvoir depuis 1932 fait entrer Oman dans une période de changements en termes de politique intérieure et de développement culturel. La formation d’un Etat nouveau est visible tout d’abord avec la création de ministères, tels que le ministère de la Justice et de l’Intérieur illustrant une volonté de modernisation des institutions politique et de l’administration du Sultanat. L’année suivante, en 1971, est marquée par la mise en place des ministères de l’éducation, du travail, des affaires sociales et de la Santé ; de même que les années 1974 et 1975 voient apparaître la banque centrale d’Oman et la banque omanaise de développement. La volonté de mettre en place  en Oman un appareil d’Etat démocratique et une administration fonctionnelle est réelle. Ces changements symboliques sont apparus à Oman dans la continuité de tensions régulières sous le règne du Sultan Said bin Taymûr à Salâla, le père de l’actuel Sultan d’Oman. Les rebelles de l’Oman Revolutionary Movement ont attaqué les régiments du Sultanat dans les années 1950, jusqu’à ce que leurs fiefs soient bombardés en 1958. Ces premières rebellions ont été suivies de près par une guerre civile débutant en 1963,  durant laquelle le Front de Libération du Dhofar s’est organisée contre le Sultan en place. Ce n’est qu’en 1971 que les troupes du nouveau Sultan, aidées de l’armée iranienne, parviennent à vaincre les forces de la rébellion (qui contrôlaient deux tiers de la région de Dhofar). Apres plus 20 années de conflit intra-étatique, la nécessité d’établir des changements radicaux au sein des institutions et la création d’une nouvelle administration est flagrante. En ce sens, les ministères créés par le Sultan Qabous sont symboliques. Et les changements ne s’arrêtent pas la. Les avancées culturelles sont nombreuses à partir de 1970, tant au niveau de l’éducation qu’a celui de la santé et des services sociaux. Le nombre d’élèves en école primaire est passé de 909 avant 1970 à 77 000 en 1979. Parmi ces élèves se trouvent un tiers de jeunes filles, ce qui illustre la libéralisation de la pensée quand a l’éducation des femmes et l’ouverture d’esprit grandissante dans la culture omanie.

Ces changements sont aussi une preuve que le Sultanat d’Oman devient un territoire pacifique au sein duquel les tensions se font rares. Oman possède aujourd’hui un régime stable et les conflits internes sont minimes. En ce qui concerne les conflits externes, Oman est le seul pays avec le Koweït à n’être pas impliqué dans une crise ou un conflit ayant lieu dans un Etat du Moyen-Orient. Enfin, si le Moyen-Orient est une région dans laquelle se sont installé plusieurs groupes terroristes, Oman ne fait pas partie de ces pays et condamne fermement les agissements de ces groupes. Il est mentionné sur le site de la diplomatie française par exemple que le gouvernement omanais effectue un contrôle rigide de ses frontières. Cependant, on ne peut pas exclure totalement la possibilité d’attentats sur le sol Omanais.

3. Evaluation des risques économiques et financiers

L’économie d’Oman Grand exportateur d’encens puis de pétrole, la situation géographique d’Oman a toujours permis au territoire d’organiser des échanges maritimes avec ses voisins africains ou des destinations plus lointaines d’Asie. Oman s’est fait une place dans le commerce maritime, lui permettant d’effacer des difficultés liées à l’enclavement dont il est la victime, à cause des chaines de montagnes qui l’enferment. Aujourd’hui, le Sultanat d’Oman est aussi présent dans de nombreux échanges commerciaux terrestres et aériens, repoussant toujours plus loin les obstacles liés à une géographie complexe. Malgré une importante possession d’hydrocarbures, les réserves de pétrole d’Oman sont restreintes et ne représentent que 1% de celles du Moyen-Orient. Oman a donc du se diversifier pour ouvrir son économie, en s’axant notamment sur le gaz. Avec la valorisation contemporaine du gaz naturel et son aspect prometteur pour l’avenir, investir dans l’extraction et la liquéfaction du gaz a permis au territoire omanie de voir de nouvelles industries grandir rapidement (Oman LNG LLC est en charge de la liquéfaction du gaz et de sa vente). L’économie d’Oman ne repose donc plus seulement sur le pétrole.

L’emplacement géographique du Sultanat d’Oman est une raison majeure de la diversification des activités économiques du pays. Il a été mentionné précédemment que le pays était situé sur le littoral de la  mer d’Arabie et avait accès au détroit d’Ormuz. Des investissements ont donc été réalisés pour permettre la construction de ports et de raffineries situées dans les villes du littoral comme Mascate et Sohar. Il existe un projet d’oléoduc dont le but serait de relier ces deux raffineries et connecter les espaces  d’activités entre eux. Cette localisation géographique et ces investissements dans la « littoralisation » des activités pétrolières ont permis à Oman de développer leur commerce maritime. Le pays exporte maintenant 97% du pétrole en Asie (dont 60% en Chine). Enfin, la ville de Doqum s’est vue agrémentée en 2008 d’un hub portuaire qui a marqué l’accélération de l’ouverture économique d’Oman. Les avantages géographiques d’Oman ne sont donc plus limités a son accès au détroit d’Ormuz, mais concernent la totalité du littoral sur lequel le pays est situé, grâce aux nombreuses installations et structures mises en place par le pays pour diversifier et faire monter son économie sur la scène internationale. L’entrée d’Oman dans l’Organisation Mondiale du Commerce en 2000 est un symbole de la fin de l’isolement économique d’Oman. Cependant, malgré la diversification de l’économie d’Oman, la faiblesse du prix du pétrole met en situation difficile le pays. Selon les chiffres d’analyse du Trésor public, la croissance du PIB du Sultanat d’Oman est passée de 4% en 2015 à 3% en 2016 et pourrait être négative en cette année 2017. Bien que le pétrole n’occupe pas toute la place dans le PIB d’Oman, le poids des hydrocarbures dans l’économie reste imposant. Il représentait en 2016, 68% des recettes budjétaires et 58% des exportations du pays. Ainsi, la baisse des prix du pétrole à tout de même eu un certain impact sur l’économie du pays, et cette dépendance encore majeure du pétrole se couple d’une dépendance commerciale à l’égard de la Chine, qui est le premier pays avec lequel Oman effectue ses échanges. L’économie omanaise n’est donc pas complètement stabilisée malgré les efforts du gouvernement pour la diversifier et l’ouvrir internationalement.

4. Evaluation des risques géographiques et environnementaux

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La position géographique d’Oman représente à elle seule des enjeux économiques et diplomatiques, et son intégration dépend en partie de cette géographie spécifique. Le positionnement du sultanat d’Oman, situé à la pointe du détroit d’Ormuz, lui permet de commander l’entrée du détroit. Il s’agit d’une voie commerciale essentielle du trafic international, empruntée par plus de 30 % du commerce mondial de pétrole soit environ 2 400 pétroliers. Chaque jour environ 17 millions de barils de pétrole passe par cet endroit.  Oman est entouré du Yémen au Sud, de l’Arabie Saoudite à l’ouest, des Emirats Arabes au Nord-Ouest, de l’Irak et de l’Iran au Nord, du Pakistan et de l’Inde à l’Est. Le territoire se présente sous la forme d’une plaine désertique au centre, bordée de chaines de montagnes sauvages au Nord et au Sud. Le sultanat d’Oman a un climat désertique chaud et sec sur toute la partie Nord-Est du pays, tandis que les côtes et le littoral sont des endroits plus humide, qui subissent même une légère influence de la mousson (sur une période allant de Mai à Septembre), ainsi que l’extrême sud du pays, comme la région du Dhofar. Les vents d’été provoquent des tempêtes de sable et de poussière à l’intérieur du pays, notamment à cause de sa géographie désertique sur une grande partie du territoire central.

Concernant le développement durable, Oman doit faire face à des enjeux majeurs. Les conditions de sècheresses de la majorité du territoire expliquent des ressources hydrauliques nulles ou quasi-nulles. L’eau potable est le résultat d’une désalinisation de l’eau de mer, un opération couteuse qui permet néanmoins de combler les besoins d’une population de plus en plus importante. Cependant ceci a pour conséquence une augmentation de la salinité des sols et donc une baisse de l’agriculture. L’activité pétrolière du pays a parfois mené à des déversements de pétroles polluant les plages. Oman se trouve encore confronté à de nombreux enjeux environnementaux qui freinent en partie le développement du pays. Pourtant, la encore Oman semblent agir en conséquences dans le but d’améliorer sa participation au développement durable. Le Sultanat a mis en place des mesures de prévention et de protection, notamment grâce aux analyses et études du ministère de l’environnement et des affaires climatiques qui s’applique à mettre en place des projets dont les émissions de gaz a effet de serre sont limitées. Ce même ministère administre 19 réserves naturelles visant a protéger la faune et la flore du pays, telles que la réserve Ras al Jinz connue pour ses tortues vertes. Enfin, le gouvernement invite les industriels à planter des arbres et des plantes dans le but de réduire les émissions de CO2 ainsi qu’améliorer les conditions de travail.

5. Evaluation du Hard power

L’ouverture commerciale d’Oman ne s’est pas faite du jour au lendemain, et de nombreuses tensions ont miné le pays avant que des mesures ne puissent être prises pour ouvrir le pays à l’économie mondiale, telles que les révolutions du Printemps Arabe ou. Cependant, le temps des conflits semblent loin et Oman tente désormais d’établir des relations pacifiques avec ses voisins, mais aussi avec les pays Occidentaux. D’un point de vue régional, Oman a tenté d’œuvrer pour la paix et la stabilité malgré les répercussions sur sont territoire de nombreux conflits tels que la guerre civile en Syrie ou la crise Yéménite. L’Oman a notamment tenté d’œuvre pour obtenir une médiation et une sortie de crise pacifique du conflit pour les Houtis, lors des négociations de Genève. De même, le Sultan Qabous tient aussi a entretenir de bonnes relations avec les européens, en prenant des actions dans le but de protéger des touristes étrangers sur ses terres et celles de ses voisins. C’était le cas par exemple lors de l’enlèvement de la touriste française Isabelle Prime au Yémen : l’influence du sultan d’Oman et permis sa libération et lui a valu les remerciements de l’ex-président François Hollande. Il semble donc qu’Oman tente d’arborer un comportement irréprochable pour établir des relations amicales et favoriser une bonne entente avec les pays qui échangent avec lui.

A l’échelle internationale, Oman entretient des relations privilégiées avec la Grande Bretagne  qui a longtemps influencé le territoire, sur lequel elle exerçait un protectorat informel dans les années 1920, suite a l’aide qu’elle a apporté au pays en 1870. Des lors, les échanges commerciaux et diplomatiques entre les deux pays s ‘en sont trouvés favorisés, et l’influence de la Grande Bretagne a longtemps pesé sur les décisions prise a Oman, qui commence seulement a se défaire de cette « emprise ». L’économie omanie, comme mentionnée précédemment, repose en majorité sur les échanges avec l’Asie, ce qui implique donc des relations diplomatiques de bonne qualité, entre Oman et ses voisins lointains asiatiques. Les français tentent eux aussi d’établir des échanges avec le Sultanat d ‘Oman notamment en termes d’IDE (Investissements Directs à l’Etranger) dont la proportion est très modeste comparé à celle des IDE britanniques (40%). Aujourd’hui, déjà 40 entreprises françaises sont implantées sur le territoire d’Oman. Les relations diplomatiques avec la France sont positives : l’année 2016 a été marquée de deux entretiens entre les premiers ministres d’Oman et de la France, selon un rapport du site de la diplomatie française. L’aide du Sultanat dans la protection des touristes français valorise l’image du pays auprès de la France, qui a délivré plus de 7000 visas et envoyé 1000 étudiants au centre franco-omanais. Les relations entre les deux pays semblent donc être au beau fixe, et la volonté d’Oman de rentrer dans une nouvelle dynamique diplomatique est visible à travers l’exemple Français.

6. Evaluation du Soft power

Oman se démarque par l’atmosphère pacifique qu’il dégage. Si le Printemps Arabe de 2011 a fortement marqué les pays du Moyen Orient, Oman est un cas exceptionnel en termes de stabilité, de développement et donc, de réponses aux revendications (telles que les politiques intérieures sociales mises en place par le Sultan Qabous). A l’international Oman donne donc l’image d’un territoire stable qui renforce donc la vision positive que les puissances extérieures ont du pays. Mais la paix et la stabilité intérieure ne sont pas les seuls atouts qu’Oman peut mettre en avant pour influencer les autres pays. En terme de développement, l’Oman semble être un bon élève, si bien que le rapport du PNUD de 2010 l’a placé au premier rang parmi 135 pays, en termes de progrès dans le développement humain. De même, l’Organisation Mondiale de la Santé avait évalué le système de santé d’Oman comme étant le huitième plus performant. Ces deux informations prouvent la capacité d’évolution et de développement du pays sur une période de 30 ans (1970 à 200 environ), ce qui semble être de bonne augure pour les futurs objectifs d’Oman. Enfin, Oman fait apparaître au sein de son territoire la notion de « fierté nationale », rendant les habitants fiers de leur Nation et traduisant une volonté de s’affirmer en tant que pays uni. La diversité culturelle dont jouit Oman est devenu un avantage considérable et le gouvernement fit de plus en plus la promotion de cette diversité, qui vit en paix au sein du même territoire. Cependant, le soft power d’Oman est encore limité, notamment à cause de son retard dans les nouvelles technologies. Oman n’a pas encore des infrastructures de communications et d’informations que possède par exemple le Qatar. De plus, une grande partie de la population omanaise n’a pas accès à l’information, encore grandement censurée par le gouvernement. Pour autant, si le soft power d’Oman est encore assez limité comparé à l’influence culturelles des grandes puissances comme les Etats Unis ou la Chine, le pays ne tarit pas d’effort pour s’affirmer sur la scène internationale, et tenter de passer une message pacifique a ses voisins proches et lointains.

7. Conclusion générale

En conclusion, Oman est un pays qui subit des transformations et des évolutions permanentes depuis 1970. L’arrivée au pouvoir du Sultan Qabous non seulement été synonyme de transformations sociales, mais aussi d’une ouverture flagrante du pays sur à la scène internationale, tant au niveau des activités économiques et commerciales, qu’en termes de diplomatie et de relations internationales. Les efforts de démocratisation du pays et sa lutte dans le maintien de la paix ont permis au Sultanat d’Oman d’établir des relations importantes avec des partenaires occidentaux, tout en diversifiant son commerce et en échangeant avec l’Asie. Enfin, Oman s’inscrit parmi les Etats qui mènent des actions contre le réchauffement climatique et les dégradation de l’environnement, grâce à des mesures pour la préservation de la faune et la flore de son territoire. Ainsi, si Oman n’est pas encore une puissance économique très influente a l’échelle internationale, il est certain que le pays met en avant de plus en plus d’atouts et ne cesse pas ses efforts pour s’intégrer pleinement dans le cercle des pays qui règnent sur les dynamiques économiques et diplomatiques. Le soft power grandissant de ce pays pacifique, associé a une volonté de respecter l’environnement et de mettre en place des politiques de développement durable fait d’Oman un futur acteur majeur parmi les puissances mondiales. Ainsi, si Oman à subit pendant longtemps des conflits internes et des crises sur son territoire, il semble que ce temps soit bel et bien révolu et que son désir de modernisation soit un moteur clé du développement rapide de ce pays.

SWOT

FORCES

FAIBLESSES

Un gouvernement stable et des institutions modernes :

·      qui favorise les investissements étrangers

·      qui permettent une meilleure éducation et traduisent une véritable  volonté de créer une identité omanaise

Un État pacifique et médiateur :

·      qui légitime l’influence d’Oman en termes de relations internationales

·      qui a permis des négociations et des solutions lors de crises régionales (Yémen, Libye)

Une économie diversifiée :

·      qui a permis une croissance du PIB positive

·      qui rend le pays moins indépendant du pétrole

Un développement technologique encore limité :

·      Oman est en retard vis à vis de ses voisins Qatar et EAU

·      La censure est un frein à la modernisation du pays

Une dépendance encore trop marquée vis-à-vis du pétrole :

·      Les prix du pétrole influencent encore trop l’économie omanaise

·      Oman est donc aussi dépendant des pays à qui il exporte (Chine)

Une culture encore relativement conservative :

·      pouvant désintéresser les touristes

OPPORTUNITÉS

MENACES

Rôle des investissements étrangers pris en compte par le gouvernement :

·      qui favorise l’ouverture d’Oman

·      qui attire de nouveaux capitaux et investisseurs

Un climat régional encore menacé par les conflits des pays voisins :

·      l’ombre de la menace terroriste est proche d’Oman ;

·      la peur des évènements passés influence les visiteurs (exemple de l’enlèvement d’une française au Yémen)

8. Références

Oman et les EAU, Bibliothèque du voyageur, Guides Gallimard, 2017

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Fiche pays – Oman : /geopolitique/fiche-pays-oman/

« Chronologie de l’Oman », Documentation écrite, sur le site RFI, consulté le 25.10.17 :  http://books.openedition.org/iremam/2346 ; http://www.rfi.fr/pays/oman-chronologie-dates-geographie-demographie-economie-chiffres

Mouthon, Alexandre, « Géopolitique d’Oman : les choix d’une pétromonarchie discrète », La revue géopolitique, 05.03.16, consulté le 17.10.17 : https://www.diploweb.com/Geopolitique-d-Oman.html

Soni Rodriguez, Hasni Abidi, « Oman : une autre géopolitique dans le monde arabe », 04.10.16, consulté le 16.10.17 http://www.iris-france.org/80834-oman-une-autre-geopolitique-dans-le-monde-arabe/

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