Mais que veut l’Allemagne en Europe ?

A l’heure du Brexit, des tensions commerciales avec les États-Unis, de la crise migratoire, des divisions internes à l’UE, quel rôle entend jouer l’Allemagne en Europe ? Entre la volonté du Président français d’approfondir l’intégration européenne, les critiques répétées de M. Orban à l’encontre de l’UE, et les pressions américaines liées au budget de l’OTAN, dans quelle position se place l’Allemagne au sein de l’Europe ?

Premier pays de l’UE par son économie et par sa population, l’Allemagne est la quatrième puissance économique mondiale derrière les États-Unis, la Chine et le Japon. Elle compte, avec 96 députés, la première délégation au Parlement européen et est aussi le plus grand contributeur net de l’UE assurant 19,7% du budget européen en 2014. Cependant, à cela s’ajoute des contraintes internes à l’Allemagne. Angela Merkel est sortie affaiblie des dernières élections. Son alliance avec les sociaux-démocrates la fragilise et ouvre la course à sa succession à la tête de son propre parti. La montée de l’AFD dans l’opinion est aussi à prendre en compte dans les futurs choix politiques des dirigeants allemands.

1. Maintenir une Europe permettant le développement du modèle économique allemand

1. Maintenir le modèle économique face à une démographie inquiétante

Depuis les années 1970 l’Allemagne connaît un net ralentissement de sa population. Ainsi de 0,6% d’augmentation de sa population en 1969, elle passe à -0, 24% en 2007 et 2008, avant de remonter quelques peu à 0,06% en 2017.

Ainsi, 792 000 naissances ont été enregistrées en 2016, soit une augmentation de 7% par rapport à l’année précédente, l’Allemagne se place alors au 13ème rang en termes de fécondité au sein de l’UE. Cette hausse est en partie due à l’immigration. En effet, le nombre d’enfant nés de mères étrangères a augmenté de 25%, et celui des mères allemandes de 3%, entre 2015 et 2016. En cela, le regain démographique que connaît l’Allemagne semble lié à l’accueil de 900 000 demandeurs d’asile en 2015. Toutefois, le nombre d’enfants nés de mères allemandes reste bien au-dessus de celui des enfants nés de mères étrangères, à hauteur 607 500 enfants contre 184 660 enfants en 2016.

Cependant cette augmentation contraste avec un autre constat, plus pérenne celui-ci, le vieillissement de la population. Selon les perspectives officielles, les actifs âgés de 20 à 65 ans passeront de 49,8 millions en 2015 à 43,9 millions en 2035 puis 39,6 millions en 2060. Pour l’économie, cette question du vieillissement est le problème principal. D’après une étude de la Bundesbank publiée en avril 2017, le vieillissement sera la cause principale de la baisse de la croissance du pays dans la décennie à venir. Une croissance qui était en moyenne de 1,25 % par an ces cinq dernières années et qui, toujours selon cette étude, devrait passer à environ 0,75% dans la période 2021-2025.

2. Une économie excédentaire en phase de redistribution

L’Allemagne est aujourd’hui en passe de sortir de la gestion de la « rente Schröder », manne financière due aux forts excédents commerciaux issus des réformes de libéralisation du travail du gouvernement du même nom. Dès lors s’ouvre, dans un environnement compliqué, l’ère de la tractation politique et sociale afin de distribuer la rente. Cette évolution n’est pas nécessairement négative pour la croissance à court terme mais la cohérence du modèle allemand pourrait aussi s’effriter. L’économie allemande se retrouve aujourd’hui avec une équation autrement plus difficile à résoudre que ces dernières années. Il y a d’abord les attentes des salariés qui veulent obtenir les dividendes de leurs sacrifices passés, mai aussi la question du temps de travail. Le syndicat IG Metall réclame le passage de 35 à 28 heures de travail hebdomadaire pour ceux qui le souhaitent, avec une compensation partielle du manque à gagner par l’employeur. En face, l’opposition patronale est totale. Car de deux choses l’une, soit le conflit s’enlise et c’est une désorganisation de la production d’autant plus profonde que les entreprises tournent déjà à plein régime. Soit, le patronat cède, et c’est le risque de voir se dégrader les marges bénéficiaires et la compétitivité des entreprises allemandes ainsi que les effets d’entraînement sur les syndicats des autres branches, qui vont à leur tour entrer en négociations. Il ne faut pas non plus perdre de vue que seuls 50% des salariés sont couverts par les conventions collectives sur ce marché du travail à deux vitesses.

Conséquence d’une économie florissante, les rentrées fiscales sont au rendez-vous. Dès lors faut-il en profiter pour réduire les impôts des particuliers et des entreprises ou, au contraire, lancer un grand programme d’investissement dans les infrastructures ? L’économie allemande étant tournée vers l’exportation, celle-ci n’a nul besoin d’une grande campagne de travaux publics pour remplir les carnets de commande. Pourtant, ses infrastructures publiques vieillissantes en auraient bien besoin. En effet, la dégradation de ces infrastructures, notamment de transports, commence depuis quelques années à inquiéter le patronat allemand, à commencer par le BDI, la Fédération de l’Industrie Allemande. En 2014, l’état de 20 % des autoroutes, 41 % des routes nationales et 46 % des ponts allemands était déjà considéré « critique ». Un constat accentué en 2016 par l’hebdomadaire allemand Der Spiegel : outre les ponts et les autoroutes, le taux d’investissement dans les infrastructures ferroviaires y est également décrit comme largement insuffisant. L’Allemagne paie le prix du manque de coordination entre le pouvoir fédéral et les Länder, qui se partagent le financement et la planification des grands travaux. L’Allemagne vit clairement au-dessous de ses moyens car elle peut se le permettre. En effet, si sa croissance pourrait être supérieure aux 1,9 % actuels, ceux-ci suffisent à maintenir ses équilibres économiques et budgétaires. Enfin, la performance à l’export de l’économie allemande pourrait bien un jour se retourner contre elle. En cas de ralentissement de la croissance mondiale, l’Allemagne pourrait bien avoir besoin de se reposer davantage sur la consommation intérieure. Or, selon l’Organisation pour la Coopération et le Développement Économique (OCDE), l’Allemagne présente un taux d’épargne parmi les plus élevés d’Europe : 10,1 % du produit intérieur brut en 2015 contre 2,5 % pour la France.

Un autre point de blocage potentiel vient de la fragilisation à venir des relations avec les pays d’Europe de l’Est, devenus au fil du temps l’Hinterland productif des industriels allemands, et la source principale de leur compétitivité. Ce rôle central de plate-forme de l’Allemagne vis-à-vis de ses satellites se lit d’ailleurs très bien à travers la place qu’elle occupe dans les échanges extérieurs de la région : à la fois premier fournisseur de ces pays, elle est aussi leur premier client, de loin, et représente plus du quart de leurs exportations en moyenne.

Autant de pays qui sont aujourd’hui aux mains de gouvernements de droite dure. Ce virage ne va sans poser de sérieux problèmes. Au-delà de leur nationalisme, ces nouveaux partis au pouvoir partagent le même refus de l’Union européenne, de ses lois et de ses réglementations. Cet Hinterland devient de la sorte de moins en moins fréquentable, et de plus en plus susceptible de s’émanciper de sa vassalisation de fait, pour affirmer ses intérêts propres au détriment de l’Allemagne.

Le maintient de forts excédents commerciaux afin de dégager une épargne à même de compenser le vieillissement de la population est donc une priorité absolue du gouvernement allemand. De plus, l’heure d’une redistribution des bénéfices à sonner, mais, contrairement à ce que souhaitent certains pays européens du sud, cette répartition se fera en direction de la population allemande, et non en soutient à des régions pauvres du continent. Dans cette volonté de refus d’une « Union de Transfert » l’Allemagne est soutenue par la plupart des pays du Nord de l’Europe. L’Allemagne peut se prévaloir, de par sa puissance économique, d’un rôle d’arbitre entre l’Europe du Nord et celle du Sud. Mais cette opposition reste un peu trop caricaturale entre une Europe du Nord vertueuse et travailleuse et une Europe du Sud dispendieuse et paresseuse. Ce populisme des riches, opposé à tout transfert fiscal vers des territoires moins favorisés, est une évolution plus générale en Europe. On le retrouve en Italie dans le discours de la Ligue du Nord ou en Espagne dans celui de certains indépendantistes catalans. L’Allemagne, qui doit beaucoup à l’Europe pour ce qui est de sa démocratisation après 1945, mais aussi pour l’exportation de ses produits industriels, connaît un mouvement contre la solidarité budgétaire en Europe. Cela ne veut pas dire que les gouvernements allemands ont arrêté les transferts budgétaires vers les autres pays européens, l’Allemagne restant le premier contributeur net au budget de l’Union européenne, mais que de plus en plus de citoyens trouvent ces transferts de moins en moins légitimes. La population allemande souhaite voir la redistribution de la rente Schroder s’effectuer avant tout vers les citoyens allemands ayant fait des sacrifices sociaux au nom de l’emploi et non au reste de l’Europe, dans une union de transferts.

2. Développer une Allemagne plus autonome en Europe sans perdre l’appui états-unien

A l’international, dès sa fondation en 1949, la jeune RFA avait trouvé sa légitimité démocratique et sa protection géopolitique auprès de l’occupant et puissance tutélaire américaine. Malgré l’anti-militarisme des années 1960 et 1970 exprimé par le fameux slogan « better red than dead », l’alliance américaine était la colonne vertébrale de l’action extérieure allemande, notamment au sein de l’OTAN. A la fin de l’URSS, l’Allemagne avait même pris part à l’intervention au Kosovo (1998) et en Afghanistan (2001) aux côtés du patron et modèle américain. Aujourd’hui, l’administration Trump achève de mettre à mal cette relation privilégiée fondamentale pour le système de sécurité allemand et pour la culture politique du pays. Le découplage entre les deux pays avait déjà commencé sous les présidences de G. W. Bush puis de B. Obama. L’Allemagne de Schröder et Fischer avait refusé de participer à la Guerre d’Irak de 2003 et celle de Merkel au conflit de Libye en 2011. Plus récemment, le pivot vers l’Asie décidé par Obama, le partiel désengagement militaire américain des théâtres européens et la réduction des formats otaniens avaient fragilisé la solidarité transatlantique. Le discours brutal du nouveau président américain et sa traduction corporelle dans le rendez-vous manqué du 18 mars 2017 lèvent ce dernier voile : la Chancelière est désormais mise en difficulté sur la scène transatlantique. Certes, les bases américaines en Allemagne (Ramstein, Bad Aiblingen) restent les principales têtes de pont sur le Vieux continent, mais les États-Unis n’ont plus de politique allemande. Le refroidissement des relations germano-américaines tend aujourd’hui à devenir une divergence au moment même où l’Allemagne cherche des relais à sa puissance.

Au niveau européen, avec sa santé économique insolente alors que beaucoup de pays européens se battent contre le chômage, l’Allemagne apparaît comme la grande bénéficiaire de la monnaie unique alors que l’euro était censé mettre fin à la domination du Deutschemark sur les autres devises européennes. Pour ses voisins et partenaires, cette puissance économique ne peut que se traduire en termes politiques. Les Allemands ont, eux, une analyse diamétralement opposée de la situation. S’ils constatent qu’ils se portent actuellement mieux que les autres, ils craignent la contagion de l’instabilité économique et financière provoquée par des Etats jugés laxistes auxquels ils ont lié leur sort dans la zone euro. A ce paradoxe s’ajoute la contradiction d’une Allemagne économique puissante qui rechigne à user de cette puissance au-delà de ses stricts intérêts économiques et commerciaux. Non seulement elle ne le fait pas, mais elle a même peur des conséquences de son poids politique. Ses partenaires européens, la France au premier chef, qui ne sont pas non plus épargnés par les contradictions, le regrettent, mais seraient les premiers à s’inquiéter s’ils voyaient l’Allemagne afficher des ambitions politiques.

Le Livre Blanc allemand sur la politique de sécurité et l’avenir de la Bundeswehr paru en juillet 2016 témoigne de la volonté de l’Allemagne de s’investir davantage sur la scène internationale, d’assumer plus de responsabilité et d’assurer un leadership en étroite concertation avec ses partenaires en Europe et dans le monde. C’est cette ligne politique que l’on appelle désormais le « consensus de Munich » en référence à plusieurs discours tenus par de hauts responsables allemands lors de la conférence annuelle sur la sécurité dans la capitale bavaroise. Tout en cherchant à jouer un rôle plus important, Berlin reste en même temps fidèle à soi-même en misant sur le multilatéralisme, l’approche globale, et en insistant sur le fait que la Bundeswehr n’est qu’un outil parmi d’autres de la politique de sécurité allemande et pas forcément le plus approprié dans tous les cas. Un point intéressant est qu’il n’y a pas de réel soutien de la population allemande à l’égard de cet engagement militaire accru. Un sondage de 2014 montre que seulement 37 % des Allemands considèrent prioritaire une plus grande présence militaire de leur pays dans le monde. L’après-Seconde Guerre mondiale a ancré profondément l’Allemagne dans une tradition diplomatique du soft power.

Sur la scène européenne l’Allemagne est de plus en plus seule : elle rallie ponctuellement des Etats membres attachés à la rigueur budgétaire, Pays-Bas et Suède par exemple. Quant à l’Europe du Sud, elle a durablement conçu une rancœur marquée contre l’Allemagne au moment de la crise de l’euro. Ultime développement : le Brexit prive l’Allemagne de relations fortes avec le Royaume-Uni. Ce lien était pourtant essentiel à l’Allemagne dans les équilibres subtils entre Europe du Nord et Europe du Sud, entre grands pays et petits pays et dans sa gestion du couple franco-allemand, parfois étouffant. Longtemps, le pays a su exploiter ce rôle d’arbitre dans la relation triangulaire Paris-Londres-Berlin. En Europe, l’Allemagne reste le géant institutionnel et économique incapable de rallier par son soft power et son effet d’entraînement un véritable groupe d’États-membres amis sur la scène européenne. Sa puissance éloigne d’elle ses partenaires traditionnels.

L’Allemagne peut tout de même tenter de revendiquer un rôle d’arbitre entre l’Europe de l’Ouest et celle de l’Est, son hinterland productif. Cependant ses positions favorables aux demandeurs d’asile lui ont durablement aliéné les Etats du groupe de Višegrad (Pologne, Slovaquie, Hongrie, Tchéquie). A l’est, l’Allemagne est déconsidérée en raison de sa trop grande ouverture à l’islam, aux migrants et aux réfugiés. Elle peut néanmoins essayer de jouer le rôle de pont entre ces deux Europe par une augmentation de son budget dans l’OTAN. En effet, du fait de la peur de la Russie à l’est, le soutient américain s’avère inestimable pour cette partie du continent. Un investissement allemand conséquent, au moins 2% du PIB national, dans l’OTAN pourrai convaincre les américains de maintenir leur contribution au budget de l’organisation militaire, rassurer les pays de l’Est et maintenir la cohésion de l’UE face à un ennemi commun. Enfin, à Aix-la-Chapelle, le 10 mai dernier, la Chancelière Merkel affirmait que la politique étrangère européenne « n’en est encore qu’à ses débuts car les conflits se jouent à nos portes et les États-Unis ne vont pas nous protéger. L’UE doit prendre son destin en main. »

3. Perspectives géopolitique, l’Empire Allemand, l’Europe à deux vitesses ou le Triumvirat européen ?

Vue de l’extérieur, l’Allemagne est considérée comme puissante alors que beaucoup d’Allemands se sentent vulnérables. C’était vrai déjà au XIXe siècle. Les historiens parlent de l’Allemagne comme d’un «semi-hégémon», trop puissant pour se couler dans un système collectif, mais trop faible pour le dominer.

Selon E.Todd on est face à la constitution d’un nouvel empire allemand qui s’est substitué à la Russie pour contrôler l’Est européen. La Russie contrôlait l’Est européen mais le gain économique ne compensait pas ses coûts. Pour l’Allemagne le coût est proche de zéro puisque grâce à l’OTAN elle n’a qu’à se concentrer sur l’influence économique. « Sa réussite est spectaculaire puisque l’Allemagne contrôle l’Europe. Ses excédents commerciaux ne servent pas à satisfaire les consommateurs mais à asservir l’Europe ». D’ailleurs pour Todd, accusé souvent de germanophobie, l’Allemagne est moins dans une logique de compétitivité que dans une optique de puissance. Certes, l’Allemagne est pacifique, elle a tiré les leçons de l’histoire, mais elle est puissante et cette puissance économique va se convertir en puissance politique. L’Europe doit savoir s’en servir au risque de voir un déséquilibre se créer.

Par ailleurs, l’Allemagne pourrait se voir comme le leader d’une Europe à deux voir trois vitesse, poussant l’intégration avec ceux qui le souhaite, et maintenant les autres Etats dans un espace économique et/ou juridique commun. Cependant les dernières propositions de la Commission européennes s’agissant du budget de l’UE pour la période 2021-2027 ne vont pas dans ce sens. En effet, ces dernières proposent de subordonner l’octroi des aides européennes au respect de l’Etat de droit, excluant de fait des Etats comme la Pologne ou la Hongrie.

Enfin, une dernière vision semble poindre. Depuis quelques années se développe des regroupement d’Etats au sein de l’UE. On peut ici parler de l’Initiative des 3 mers s’agissant de l’Europe de l’Est, ou du MED7 s’agissant de l’Europe du Sud. Ces groupes semblent d’ailleurs correspondre, à grands traits, à une division ethnolinguistique de l’Europe, entre les Europe slave, latine et germanique.

Serait il possible, dans ce cadre d’envisager un Triumvirat européen, dans lequel chaque sous-ensemble se verrait attribuer des compétences ? Par exemple, un groupement axé sur le militaire et la puissance agricole pour le MED7, l’industrie de pointe, les normes juridiques et les principes économiques pour le Conseil Nordique ?

Quoi qu’il en soit l’Allemagne, de par son leadership et sa place centrale en Europe doit faire converger toutes ces visions afin de maintenir un ensemble qui lui garantit prospérité et sécurité. Face aux propositions du Président français, la Chancelière Merkel a d’ores et déjà exclu la création d’un « super-ministre » des finances et l’instauration de listes transnationale pour les prochaines élections européennes. Nous attendons maintenant le projet commun à ces deux puissances censé être présenté en juin 2018.

Sources

Barbara Kunz , « La consolidation du ‘consensus de Munich’ et des questions qui persistent », note IFRI, octobre 2016.

https://www.ifri.org/fr/publications/notes-de-lifri/notes-cerfa/livre-blanc-allemand-2016-consolidation-consensus-de-munich

BRET Cyrille, « L’Alemagne, forte mais si seule », Diploweb, 28/03/2017. Url : https://www.diploweb.com/L-Allemagne-forte-mais-si-seule.html#nb2

WIEDER Thomas, « L’Allemagne fait plus d’enfants mais continue à vieillir », Le Monde, 29/03/2018. Url : http://www.lemonde.fr/europe/article/2018/03/29/l-allemagne-fait-plus-d-enfants-mais-continue-a-vieillir_5278251_3214.html

LE BIEZ Vincent, « La carte d’une Europe à trois niveaux qui fonctionnerait enfin », Lefigaro.fr, 24/04/2014. Url : http://www.lefigaro.fr/vox/politique/2014/04/24/31001-20140424ARTFIG00139-la-carte-d-une-europe-a-trois-niveaux-qui-fonctionnerait-enfin.php

LEQUESNE Christian, « L’Allemagne et la puissance en Europe », Revue d’Allemagne et des pays de langue allemande [En ligne], 47-1 | 2015, mis en ligne le 13 décembre 2017, consulté le 30 avril 2018. URL : http://journals.openedition.org/allemagne/446 ; DOI : 10.4000/allemagne.446

IWANIUK Jakub, « Bruxelles et Varsovie jouent la détente sur l’Etat de droit », Le Monde, 10/04/2018. Url : http://www.lemonde.fr/europe/article/2018/04/10/bruxelles-et-varsovie-jouent-la-detente-sur-l-etat-de-droit_5283343_3214.html

PASSET Olivier, « Les 3 blocages qui minent la puissance allemande », Latribune.fr, 01/02/2018. Url : https://www.latribune.fr/opinions/tribunes/les-3-blocages-qui-minent-la-puissance-allemande-766886.html

STÜRMER Michael, « Un pays clé sans clé. L’Allemagne et l’Europe », Commentaire, 2012/1 (Numéro 137), p. 33-36. DOI : 10.3917/comm.137.0033. URL : https://www-cairn-info.ezscd.univ-lyon3.fr/revue-commentaire-2012-1-page-33.htm

VERNET Daniel, « L’Allemagne souffre de sa «puissance» », Slate.fr, 31/03/2015. Url : http://www.slate.fr/story/99667/puissance-allemande

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