« L’intégrisme est une nostalgie du passé qui se prend pour une référence à l’éternel ».
Cette citation d’Étienne Borne, journaliste et philosophe français, illustre parfaitement la problématique que pose l’intégrisme. Pour comprendre cette citation, il faut d’abord définir clairement ce que signifie l’intégrisme.
L’intégrisme se définit comme la branche située à l’extrême d’une religion. Il désigne ceux qui suivent au pied de la lettre les textes religieux qui ont été choisis comme ceux dictant les règles à suivre. Il s’agit des croyants faisant partie de la branche des religions la plus attachée aux fondamentaux.
L’intégrisme a pour objectif d’appliquer les règles religieuses à la vie politique et sociale dans le but de lutter contre les dysfonctionnements issus la mondialisation. L’application de cette idéologie se traduit par la mise en place de codes normatifs, inspirés de textes sacrés, qui varient selon les contextes politiques et selon les principes des religions. Ainsi l’intégrisme peut être défini comme une idéologie, c’est-à-dire un système d’idées générales constituant un corps de doctrine philosophique et politique à la base d’un comportement individuel ou collectif (Larousse)
Le terme intégrisme apparait au début du 20 eme siècle lorsque les catholiques en faveur d’une modernisation de l’Eglise l’utilisent pour qualifier l’attitude d’une minorité de catholiques qui dénonce violemment le mouvement moderniste.
Par la suite, ce terme va être utilisé pour désigner une position d’intransigeance et de dureté au sein de quelque religion que ce soit.
On peut se demander si cette obsession du retour à la tradition véhiculée par l’intégrisme religieux constitue une menace ? Si telle est le cas, qui est donc menacé et de quelle façon ?
Pour répondre à ces questions nous allons dans une première partie, identifier les différents intégrismes en présentant les principales entités menacées et la façon dont elle le sont et dans une seconde partie nous relèverons les différentes solutions envisagées pour lutter contre l’intégrisme.
I. Présentation de l’intégrisme :
1) Selon les différentes religions
– Intégrisme catholique :
Comme indiqué précédemment, les catholiques vont lancer le terme d’intégrisme lors de l’apparition d’un courant religieux appelé le « catholicisme intégral » qui se réclame être une alternative au modernisme et au libéralisme.
Plus généralement, l’intégrisme catholique est à l’encontre du libéralisme intellectuel, politique et religieux. Cette idéologie veut répondre aux problèmes actuels de la société par un retour à la tradition catholique pure et entière.
Un mouvement est particulièrement représentatif de cette opposition à la modernité du Vatican c’est le mouvement lefebvriste qui a l’origine de la Fraternité Saint Pie X. La décision de son fondateur, Mgr Marcel Lefebvre, d’ordonner lui-même quatre évêques sans l’accord du pape lui vaudra d’être excommunié en 1988, c’est-à-dire exclu de la religion chrétienne ce qui et la punition la plus grave des peines canoniques.
Le mouvement est encore d’actualité, récemment une discussion s’est ouverte entre le pape Benoit XVI et la Fraternité afin que celle-ci revienne sous l’autorité du Pape mais qui s’est finalement terminé sans accords.
– Intégrisme protestant
Quant à l’intégrisme protestant, il a fait parler de lui récemment lors des élections aux Pays Bas puisque un parti politique appelé Parti Politique Réformé (S.G.P.) a interpellé la scène internationale.
En effet, ce parti a obtenu un siège au Sénat, un siège au Parlement Européen et trois sièges à l’Assemblée Nationale alors qu’il défend ouvertement l’instauration d’un gouvernement qui suivrait les principes de la Bible. Il commence donc à peser de plus en plus lourd sur la scène politique.
Pour illustrer leur idéologie et comprendre l’indignation de ses pays voisins, il faut lister quelques unes de leurs idées qui sont assez représentatives. Concernant le rôle de la femme par exemple, ils veulent leurs interdire de travailler et de voter et refusent qu’elles deviennent membre du parti.
Ils sont également opposés à l’homosexualité et défendent la peine de mort.
Cette histoire se passe en plein cœur de l’Europe, ceci peut donc paraitre étonnant et montre que l’intégrisme peut se trouver là ou on ne l’attend pas forcément et que son influence ne doit pas être sous estimé.
– Intégrisme juif :
L’intégrisme religieux dans la religion juive concerne les juifs qualifiés d’ultra-orthodoxe qui rejettent violemment tous les aspects de la modernité.
Par exemple en Israël, les « Haredim », nom qui signifie les « Craignant Dieu » sont des personnes de confession juives qualifiées d’ultra-orthodoxes. Elles souhaitent imposer un mode de vie qui suivrait les règles dictées par la Torah.
Ces intégristes font pression sur la population ce qui créer de fortes tensions à Israël.
Ils défendent violemment leurs convictions et souhaitent instaurer la ségrégation des femmes.
En 2012, ils choisissent de faire parler d’eux par la provocation, ils défilent dans Israël en portant l’étoile jaune qui rappel la persécution des juifs. Revendiquant avec ferveur leur idéologie, ces intégristes juifs sont à l’origine de nombreuses tensions dans la zone Israélienne.
Les « Haredim » ont d’ailleurs créé un parti politique appelé « Shass » qui a obtenu 9,5 % des voix. (12 sièges sur 120).
– Intégrisme islamique :
Il faut d’abord distinguer plusieurs termes, cela afin d’éviter certains amalgames possibles :
L’islam correspond à la religion monothéiste basée sur le Coran. Les Sunnites sont majoritaires, les chiites eux sont minoritaires.
L’islamisme, lui, correspond à une idéologie politico-sociale luttant contre tout modernisme.
Il existe aussi l’islamisme radical qui est la forme plus extrême et se traduit par des actes de violence.
La volonté de l’islamisme est de mettre en place un État islamique, c’est-à-dire un état où la politique découlerait directement de la loi islamique qui est appelé la «charia» et serait imposée à toute la population.
Nous verrons un exemple de cet intégrisme dans la seconde partie avec le cas de Daesh.
– Les intégrismes religieux se valent-ils ?
Après avoir présenté les différents types d’intégrisme selon les religions, il est intéressant de se demander s’ils ont des caractéristiques qui les distingueraient entre eux.
En effet, selon René Guitton, experts de l’Alliance des Civilisations des Nations unies, il existe des nuances qui distinguent ces intégrismes.
Alors que certains de ces intégrismes ont tendance à privilégié l’isolement de leurs membres de la société, notamment chez les intégristes protestants ou chez les juifs ultra-orthodoxes d’autres, comme l’intégrisme musulman apparait comme plus dangereux notamment pour les sociétés occidentales dans la mesure où il menace les valeurs républicaines.
Alors que les intégristes chrétiens craignent l’excommunication par exemple, qui représente à leurs yeux une grande menace, les intégristes musulmans n’ont généralement pas de réelles craintes car ils pensent que leur mission d’islamisation du monde nécessite tous les moyens possibles.
L’intégrisme musulman dénature ainsi la religion musulmane elle-même.
– Les causes de l’intégrisme :
L’intégrisme apparait souvent à un moment où les sociétés religieuses connaissent brusquement une phase de modernité.
Les populations peuvent alors vouloir revenir à la tradition par opposition aux dilemmes et problèmes apparus avec la modernisation. Elles vont vouloir garder leurs habitudes et peuvent craindre cette nouveauté.
L’intégrisme va alors apparaitre comme une bonne alternative car les intégristes pensent répondre aux problèmes modernes en l’appliquant une loi issue des textes religieux.
L’intégrisme religieux représente donc une menace mais qui et concerné et de quelle manière ?
2) Qui est menacé et comment ?
– Les cibles de l’intégrisme
Les premiers ennemis de l’intégrisme sont les symboles d’une certaine forme de modernité.
En effet, les intégristes cultivent une haine profonde de la civilisation occidentale qui diffuse des valeurs modernes et diamétralement opposées à celles de l’intégrisme. Ce que Samuel Huntington nommait choc des civilisations provoque un fort rejet et une lutte acharnée de la part des intégristes.
Les peuples historiques de culture chrétienne qui incarnent la civilisation occidentale sont notamment les Américains et les Russes. Ils représenteraient, par conséquent, les deux premières cibles pour les intégristes. Les deux pays partagent ainsi des valeurs communes, comme la laïcité par exemple.
Malgré une menace étendue sur tous les citoyens de sociétés occidentales, la civilisation américaine apparait comme étant la plus menacée. Cela est du au fait que son idéologie est jugée plus étrangère et que son pouvoir qui est le plus redouté de tous.
La seconde cible des intégristes religieux sont les croyants d’autres religions car pensant que leur idéologie est la bonne il n’y a aucune tolérance envers les autres religions.
Ceci va mener à des confrontations qui peuvent aller jusqu’à des persécutions dans le cas d’intégrismes extrémistes.
Par exemple, le Daesh persécute actuellement les minorités en Irak, notamment les chrétiens. Les familles doivent ainsi soit se convertir, soit payer une taxe spéciale, soit elles risquent l’exécution.
D’un point de vu occidental, les valeurs de la république, au sens moderne du terme, sont la liberté, l’égalité et la fraternité sont également menacées.
Tous les domaines de la liberté sont concernés comme la liberté d’expression, la liberté de penser…
L’égalité qui stipule que tous les citoyens ont les mêmes droits et devoirs et qu’ils sont soumis aux mêmes lois est aussi menacé notamment l’égalité entre les hommes et les femmes.
Enfin, la fraternité évoque la solidarité entre les citoyens.
Les principes de la république que l’on définit par l’indivisibilité, la laïcité et la démocratie constituent également une menace pour l’intégrisme et sont donc menacés.
Le principe d’indivisibilité peut se traduire par exemple par le choix d’une langue commune officielle qui facilite l’homogénéisation d’une culture.
La laïcité et la démocratie sont les principaux principes menacés par l’intégrisme religieux. Le premier garantie la liberté de conscience et le second stipule que le pouvoir appartient au peuple qui élit ses représentants.
– Comment sont-ils menacés ?
Ainsi, après avoir exposé les différents acteurs, valeurs, et principes menacés il est judicieux de présenter sous quelles formes on peut retrouver ces menaces.
On dénombre trois types d’actions :
– L’action pacifique qui est la recherche de disciples et de pratiquants et qui peut passer par de la propagande dans les médias, les lieux religieux, par l’éducation etc…
– L’action politique qui peut se présenter par la création d’un Etat théocratique. Cela passe par la création de partis politique et par le biais de campagnes.
– L’action terroriste qui utilise l’action violente et terroriste que ce soit à l’intérieur d’un pays (le Hamas) ou à l’extérieur (Al-Qaïda).
II. Comment lutter contre l’intégrisme religieux ?
Comme on a pu le voir, l’intégrisme religieux peut se manifester à long terme par une opposition contre un ennemi cible, défini par chaque groupe intégriste. Au nom de la religion et d’un Dieu, ces groupuscules développés vont jusqu’à mener des actes terroristes en finalité.
La question que nous pouvons maintenant nous poser est : quels sont les moyens mis en place pour lutter contre l’intégrisme religieux au sein du monde et des Etats ; et les actes qui en succèdent ?
1) Des organisations à l’échelle internationale luttent contre les menaces d’intégrisme religieux :
A l’internationale, une organisation inter étatique a été mise en place suite aux attentats du 11 septembre 2001. Cela consiste en la mise en place d’actions policières politiques et militaires contre Al-Qaïda. À la suite des événements du 11 septembre, la coopération policière, judiciaire entre les États-Unis et l’Europe fut renforcée, de même que la coopération policière et judiciaire intra-européenne. Les services spéciaux du continent échangent quasiment toutes leurs informations sur les menaces terroristes en temps réel entre autre par la mise en place d’Alliance Base, un service de coopération des services de renseignements, à Paris.
Alliance Base (étant la traduction littérale d’Al Quaid) a été mise en place par le Président de la République française Jacques Chirac et américaine avec George W. Bush à la suite des attentats du 11 septembre 2001. C’est un système permanent d’échanges d’informations et de coordination entre les services secrets Français (la Direction Générale de la Sécurité Extérieure), la CIA et d’autres services qui pouvaient être utiles à ces deux organismes de part leur connaissance dans le domaine du terrorisme islamiste (par exemple le B.N.D. Allemand qui est le service fédéral de renseignement ou les services secret anglais du MI6). Cette alliance a été demandée par les américains car ces derniers avaient une connaissance moindre en termes de terrorisme islamiste que les Européens. Leur cible première était bien entendu Al-Qaïda. Alliance Base avait pour but de surveiller les mouvements terroristes à travers les pays afin de lancer des opérations d’espionnage ou de capture de différents suspects.
Une activité militaire pour lutter contre l’islamisme radicale existe. Une opération d’interdiction maritime («active endeavour ») à été mise en place. Les forces navales permanentes de Méditerranée de l’OTAN ont été déployées pour participer à la lutte anti-terroriste en escortant des navires dans le détroit de Gibraltar.
De plus, il y a eu la création de la résolution 1373 par les Nations Unies. Elle oblige tous les États à pénaliser l’assistance aux activités terroristes et à mettre fin à leurs supports financiers, mais elle exige aussi le partage des informations sur des groupes planifiant des actes terroristes entre les États membres.
2) Des organisations propres aux États
Les États ont un rôle à jouer dans la lutte contre l’intégrisme religieux et les déviances qui peuvent s’en suivre.
Avec différents programmes d’éducations, l’État se doit de lutter contre la possibilité de propagation de l’intégrisme. Le système laïc est, en ce sens, fait pour ne pas exposer sa religion et qu’elle reste dans le domaine du privé, mais son efficacité est limitée car il n’empêche la montée de l’intégrisme qui se fait dans le dos de la République Française mais aussi dans d’autres pays du monde.
3) Un cas d’actualité, DAESH(aussi connu sous le nom d’État Islamique) :
Nous savons aujourd’hui que l’État Islamique détient une organisation bien ficelée : à sa tête se trouve le chef Abu Bakr Al-Baghgagi. Il est le chef religieux et politique du territoire de l’État Islamique. C’est celui qui va transmettre le message aux fidèles, comme par exemple en Juillet 2014 lorsqu’il leur demanda de combattre les « ennemis de Dieu ». A ses côtés se trouvent deux députés (anciens généraux de Saddam Hussein) qui s’occupent respectivement des opérations en territoire Irakien et Syrien : Abu Muslim al-Turkmani et Abu Ali al-Anbari. Ces derniers parlent aux gouverneurs locaux et régissent la bureaucratie de l’Etat Islamique. Des cabinets conseillent Al Baghgagi sur ses décisions et les 7 provinces de l’Etat Islamique détiennent à leur tête des gouverneurs qui sont en contact avec les députés. Ainsi ils sont actifs dans l’organisation et la prise de décision des zones géographiques où ils se trouvent. Grâce à leurs contacts et leur pouvoir, ils imposent des lois et leurs idées à la population.
Le danger de l’État Islamique est qu’il est arrivé aujourd’hui à se développer, et a être indépendant financièrement grâce à la prise de contrôle de centre pétrolier leur générant des gains très importants. De plus, il a une influence sur certaines personnes qui partent rejoindre leurs rangs pour combattre avec eux. On a appris récemment qu’une centaine de femme avaient rejoint DAESH(dont ¼ de française). Ainsi ils s’implantent à l’international grâce à ceux qui le rejoigne, ce qui permet de diffuser leur influence en dehors de son champ de rayonnement actuel.
Pour lutter contre Daesh une mesure exceptionnelle à été prise avec la création d’une coalition internationale qui a vu le jour soutenue par plus de quarante pays, elle intervient dans plusieurs domaines tels que les renseignements, l’assistance militaire, l’humanitaire, la diplomatie, la lutte contre le recrutement et les réseaux financiers du groupe djihadiste.
Conclusion
L’intégrisme religieux correspond donc à une idéologie préconisant le respect de la tradition religieuse et visant à intégrer la vie collective dans la doctrine religieuse qu’il défend. On a ainsi pu remarquer que l’intégrisme n’est pas limité à une seule religion ou un seul pays mais présente un peu partout.
Cet intégrisme est une menace pour les sociétés occidentales qui représentent les symboles de la modernité mais aussi pour les peuples qui subissent les pressions des groupes intégristes voulant imposer leurs codes religieux.
Nous avons aussi vu que découlant de la vision occidentale, les valeurs et principes de la république sont directement visés ce qui en revient à menacer l’ordre social, les droits et les devoirs de chaque individu.
Il y a différents degrés dans la menace des intégristes, de l’action pacifique au terrorisme. Ainsi les mesures de lutte qui en découlent doivent être proportionnelles au type de menace. Les solutions qui peuvent être mises en place peuvent donc variées : de l’éducation, qui limiterait l’embrigadement de nouveaux partisans, à l’utilisation d’une action plus violente dans des cas extrêmes comme celui du Daesh.
Ce cas d’actualité montre dans une certaine mesure l’importance que peux prendre l’intégrisme mais aussi démontre que les actions mises en place pour lutter contre celui-ci sont plutôt inefficaces.
On peut alors se demander si l’intégrisme religieux n’a pas été sous-estimé par les États jusque là et si les solutions choisies pour le réprimer sont inadaptées?
Ce qui est certain c’est que la compréhension des problématiques liées à l’intégrisme est essentielle pour analyser les problèmes auxquels est confronté le monde occidental.
Anaïs PRITZY, Thomas PROFIT
Sources :
– Larousse, définition idéologie: http://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/id%C3%A9ologie/41426
– Rosa Moussaoui, (2012), « Les intégristes israéliens veulent imposer leurs codes », L’Humanité : http://www.humanite.fr/monde/les-integristes-israeliens-veulent-imposer-leurs-codes-486895
– XavierTernisien, (2001), « Intégrisme, fondamentalisme et fanatisme la guerre des mots » Le Monde : http://www.lemonde.fr/international/article/2001/10/08/integrisme-fondamentalisme-et-fanatisme-la-guerre-des-mots_229565_3210.html
– Sarah Halifa-Legrand, (2012), « Un réseau social pour lutter contre l’extrémisme » L’OBS : http://tempsreel.nouvelobs.com/vu-sur-le-web/20120427.OBS7243/un-reseau-social-pour-lutter-contre-l-extremisme.html
– Jean-Marie Guénois (2014), « Le Vatican et les lefebvristes reprennent les négociations » Le Figaro : http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2014/09/23/01016-20140923ARTFIG00243-le-vatican-et-les-lefebvristes-reprennent-les-negociations.php
– Joachim Véliocas (2009), « Orthodoxes musulmans et juifs : le choc des intégrismes » : http://www.islamisation.fr/archive/2009/02/03/essai.html
– Marine Tertrais « La lutte contre l’intégrisme religieux passe par l’éducation », JOL Press : http://www.jolpress.com/rene-guitton-la-france-des-integristes-livre-laicite-article-819063.html
– Micheline Milot, « Religion et intégrisme, ou les paradoxes du désenchantement du monde ». Article publié dans la revue Cahiers de recherche sociologique, no 30, 1998, pp. 153-178. Montréal : Département de sociologie, UQAM).
– « Qui participe à la coalition contre l’Etat islamique », (2014) LeMonde.fr : http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2014/09/15/etat-des-lieux-des-participants-a-la-coalition-contre-l-etat-islamique_4487310_3218.html
– « Guerre contre le terrorisme», Wikipédia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Guerre_contre_le_terrorisme
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