Date de rédaction: 01/05/2014
Finlande
1. Introduction
La Finlande est une république, démocratique parlementaire dont les langues officielles sont le finnois (91%) et le suédois (5,4%). Le same est la langue maternelle d’environ 1 700 personnes appartenant à la communauté autochtone same du nord de la Laponie.
L’unité monétaire est l’euro.
L’IDH est de 0,88 (2011)
Démographie : 5 266 114 habitants, densité : 15 hab/km2 environ.
Les ethnies: Finn (officiel) 93,4%, Suédois 5,6%, Russes 0,5 %, Estonien 0,3%, Tsigane 0,1%, Sami 0,1%.
Croissance démographique : 0,065 %
Espérance de vie : 79,4 ans (76,1 pour les hommes et 82,7 pour les femmes)
Taux d’alphabétisation : 100 %
Religions : protestants luthériens (84%), orthodoxes (1,1%), hors confession (13%)
Indice de développement humain : 0,833 / 22ème (2011)
Capitale: Helsinki (570.000 hab.)
Fête nationale : 6 décembre
La France et la Finlande:
Section consulaire française : Helsinki
Communauté française en Finlande : 2.558 inscrits en août 2012 + environ 500 personnes
Communauté finlandaise en France : environ 7.000 personnes
La Finlande et l’Europe :
Nombre de députés au Parlement européen : 13 sur 754
Nombre de voix au Conseil de l’UE : 7 sur 345 soit 2% (29 pour la France)
2. Stabilité du gouvernement et des institutions:
Gouvernement stable.
Indépendance déclarée le 6 décembre 1917. Le pays avait précédemment été territoire suédois pendant 600 ans, puis grand-duché de l’Empire russe pendant 108 ans.
Type de régime politique: république, démocratie parlementaire
Parlement: 200 parlementaires siégeant dans une chambre unique et élus tous les 4 ans au suffrage universel direct (prochaines élections en 2015)
Gouvernement: cabinet de coalition multipartie. Le gouvernement actuel est dirigé par le Premier Ministre Jyrki Katainen
Chef de l’Etat: président de la République est élu tous les 6 ans avec un maximum de deux mandats. Le président en exercice est M. Sauli Niinistö, élu en 2012.
Coopération internationale: membre des Nations Unies depuis 1955 et de l’Union européenne depuis 1995
Les conditions socio-économiques: Favorables à un environnement stable
La Finlande est membre de l’UE depuis 1995 et fait parti de la zone Euro.
Points particulièrement saillants: niveau d’éducation élevé, sécurité sociale et système de santé très performants et intégralement financés par l’Etat
Principales exportations: produits électrotechniques, produits métalliques, machines, équipements logistiques, produits dérivés du bois et du papier, produits chimiques
Principales importations: matières premières, biens d’équipement, énergie, biens de consommation (voitures et textiles par exemple)
Part des principaux secteurs d’activités dans le PIB :
Agriculture : 2,9 %
Industrie : 29,2 %
Services : 68,7 %
Taux de chômage : 8,4 % (02/2014)
Le pays se relève lentement de sa plus forte récession depuis un siècle, plus forte que celle des années 1990. Le chômage atteint 10,2 % de la population active. La Finlande sort affaiblie de la crise monétaire et financière : les exportations, qui contribuaient à la moitié de la richesse nationale, ne comptent plus que pour 35 %. L’appartenance à la zone euro, si elle a servi d’amortisseur, a défavorisé la Finlande face à la couronne suédoise voisine fortement dévaluée par rapport à l’euro.
Le retour à la croissance passe par une amélioration technologique : la Finlande devient le premier pays en Europe à inscrire dans sa loi l’accès au haut-débit sur tout son territoire afin de désenclaver les zones rurales, en particulier celles du Nord et de la frontière russe.
La coalition au pouvoir depuis juin 2011 regroupe six formations dont la grande diversité (les conservateurs y côtoient les sociaux-démocrates et une alliance de gauche) pourrait, à terme, influer sur sa stabilité. La percée, lors des élections législative de 2011, du parti nationaliste des Vrais Finlandais, devenu la troisième formation du pays, et la confirmation de son ancrage à l’occasion des élections municipales d’octobre 2012, témoignent, par ailleurs, d’une montée de l’euroscepticisme.
Les conflits internes: Pas de conflit interne.
Pour l’ensemble de la période 2009-2012, on enregistre une moyenne annuelle de 1,5.
C’est en 2012 qu’on enregistre le plus haut niveau (1,5) et c’est en 2012 qu’on enregistre le plus bas niveau (1,5).
Le changement enregistré entre la première et la dernière année est de 0%.
Les pressions ethniques: Pas de pression ethnique.
Les conflits externes et pays voisins entrainant un risque potentiel:
Pour l’ensemble de la période 2009-2012, on enregistre une moyenne annuelle de 1,5.
C’est en 2012 qu’on enregistre le plus haut niveau (1,5) et c’est en 2012 qu’on enregistre le plus bas niveau (1,5).
Le changement enregistré entre la première et la dernière année est de 0%.
Le niveau de corruption: La Commission européenne a dévoilé le 3 février 2014 son premier rapport anticorruption. Bien que les 28 Etats membres de l’UE aient mis en place des mesures pour lutter contre ce phénomène, la corruption représente 120 milliards d’euros. Le Danemark (20%), la Finlande (29%), le Luxembourg (42%) et la Suède (44%) sont les moins touchés par ce sentiment de corruption et font office de modèles de vertu. Indice de corruption 9,4 en 2011.
3. Une évaluation des risques économiques et financiers basésur :
Le PIB par habitant : 37 000 $ (en dollar US valeur PPA – 2012 )
Le taux de croissance du PIB : – 0,8 % en 2012, – 0,6 en 2013, +0,6 en 2014
Le taux d’inflation annuel : +3,2 % en 2012, +2,2 en 2013, +1,9 en 2014
Le solde budgétaire (en % du PIB) : -1,8 % en 2012 , -2,2 en 2013, -2,3 en 2014
Le solde courant (en % du PIB) : -1,8 en 2012, -1,2 en 2013, -1,3 en 2014
La dette externe (en % du PIB) : 53,6 en 2012, 58,4 en 2013, 61 en 2014
Le solde commercial : -2,4 md€ (exportations : 56,8 md€ et importations : 59,2md€) en 2012
Stabilité du taux de change : Monnaie euros
IDH : 0,882 en 2011
Après une année 2013 encore marquée par la récession, la reprise attendue en 2014 restera contrainte par la faiblesse du pouvoir d’achat des ménages (restrictions salariales et hausse de certaines taxes) et une situation toujours dégradée de l’emploi (le taux de chômage se maintiendra autour de 8%). Ces facteurs défavorables freineront la reprise de la consommation. Le raffermissement de la demande extérieure devrait toutefois tirer les exportations à la hausse et le rétablissement progressif de la confiance, de même que des conditions de crédit plus favorables, devraient entraîner un redressement de l’investissement.
Le PIB restera cependant inférieur à son niveau de 2007. En dépit d’une hausse de la taxation, l’inflation restera orientée à la baisse du fait du ralentissement de la progression des salaires et du recul des prix de l’énergie.
Bien que relativement mieux armée que d’autres pays européens, du fait d’un secteur bancaire solide, de finances publiques relativement saines et d’une faible exposition à la dette des pays européens les plus fragiles, la Finlande n’en a pas moins souffert de la crise du fait, notamment, de son ouverture économique. Son potentiel de croissance semble avoir été durablement affecté. La crise n’a fait qu’accélérer des changements intersectoriels déjà entamés avant 2008. Le secteur des technologies de l’information et de la communication (dont celui de la téléphonie mobile) et celui du bois-papier connaissent depuis plusieurs années une baisse de production avec des fermetures de sites et des délocalisations, tandis que la chimie, le secteur des métaux et la production de machine (dont celle d’ascenseurs) sont en progression. Les perspectives du secteur minier et de la production de logiciels demeurent plus incertaines. Le pays continuera probablement à perdre des parts de marché mais cette baisse devrait être freinée par la mise en œuvre de réformes de structure. Les autorités misent surtout sur une politique de l’offre pour améliorer la compétitivité du pays (réforme du marché du travail et de l’enseignement supérieur, amélioration de l’environnement des affaires).
Les comptes publics se détériorent légèrement, malgré la mise en œuvre de mesures d’ajustement (dont une hausse de la taxation), du fait de l’atonie de la demande intérieure. A plus long terme, et pour faire face au coût du vieillissement rapide de la population, les autorités envisagent une nouvelle réforme des retraites et des mesures visant à allonger la période d’activité.La balance commerciale continuera à afficher des excédents, en dépit d’une remontée des importations, mais la balance courante restera dans le rouge du fait du déficit de la balance des invisibles
4. Une évaluation des risques géographiques et environnementaux :
Les risques sismiques et géologiques : Aucun
Les risques sanitaires et épidémiques : Aucun risque particulier mis à part que le centre et le nord sont infestés de moustiques en été, de juin à août.
Il existe un phénomène dans le domaine du cancer en Finlande. En effet on parle d’ « exception finnoise » en ce qui concerne la fréquence accrue du cancer des testicules dans le monde. Alors que le Danemark semble être le pays le plus touché, la Finlande semble épargnée.
5-Une évaluation du Hard power du pays :
Pouvoir militaire réel
Le pouvoir militaire finlandais est détenu par le président de la république finlandaise.
Sauli Niinistö, est donc le commandant suprême des forces armées finlandaise
depuis le 1er mars 2012 et pour une durée de 6 ans.
Cependant, il peut déléguer ce pouvoir à un autre citoyen finlandais (unique exception pour le pouvoir militaire).
La Finlande est membre de trois organisations habilitées à mener des opérations de paix : l’ONU (1955), l’OSCE (1973), et l’UE (1995).
La politique de défense de la Finlande repose sur une armée de 300 000 conscrits. Helsinki compte aussi sur une politique européenne de sécurité et de défense commune renforcée.
La Force de Défense finlandaise participe aux opérations avec l’Union européenne, avec l’OTAN et avec les Nations unies. En tant que partie prenante au Partenariat pour la Paix de l’OTAN, la Finlande participe aux missions de cette dernière sans pour autant adhérer au principe de sécurité collective qui contreviendrait à sa neutralité.
Dépense militaire : 2.8 milliards d’euro (2012)
1.5% du PIB (2012)
3.6% des dépenses du gouvernement central (2012)
Poids du pays dans les institutions internationales
La Finlande rejoint l’UE en 1995 en même temps que la Suède et l’Autriche. Ce pays reste très attaché à sa neutralité, et cherche à développer les aspects non militaires de la gestion de crise. Elle privilégie la coopération intergouvernementale et cherche à défendre les intérêts des “petits” pays au sein l’Union européenne contre l’éventualité d’un directoire des “grands”.
Elle est très respectueuse des règles mise en place par l’UE, et c’est le seul pays nordique à avoir intégré l’Union Économique et Monétaire.
Cependant, elle refuse la responsabilité commune pour les dettes, les économies et les risques.
La Finlande est représentée par 13 députés au Parlement européen et 7 voix au Conseil.
En 1955, la Finlande rejoint l’ONU.
Helsinki entretient des relations privilégiées avec les pays baltes et nordiques et s’investit tout particulièrement dans le dialogue avec la Russie.
La Finlande défend par sa participation aux organisations internationales la promotion de différents thèmes considérés comme importants pour la paix internationale.
Ces thèmes sont la défense des droits de la personne, la promotion du statut des femmes et de la bonne gouvernance, la protection de l’environnement, la coopération au développement et à la reconstruction, la promotion du concept de la responsabilité de protéger et la participation aux opérations de paix.
Technologie et innovation
La Finlande est l’un des pays de la zone euro les plus performants dans le domaine de l’innovation et de la compétitivité.
La Finlande maintient son orientation stratégique fondée sur l’intensité de la recherche et développement (4% du PIB).
Elle est également considérée comme l’un des pionniers dans le domaine des technologies, de l’information et de la communication.
En 15 ans, l’intensité de la recherche et du développement a doublé dans l’enseignement supérieur.
An niveau de l’OCDE, elle se trouve en tête en ce qui concerne la parution d’articles scientifiques et au dessus de la moyenne pour les brevets déposés.
Toutefois, l’investissement dans la recherche et le développement est restreint à certains secteurs manufacturés comme celui de l’électronique mais ne fait l’objet que de certaines multinationales finlandaise.
Cela se fait au détriment des deux piliers traditionnels de la Finlande que sont l’industrie du bois et la métallurgie (16 % des dépenses de R&D dans l’industrie).
Jusque 2011, l’entreprise finlandaise Nokia, a été le numéro un mondial de constructeur de téléphone mobile. Aujourd’hui la dépendance de cette entreprise est moindre puisque la Finlande a choisi de diversifier son économie et de mettre les start-ups au cœur de son avenir.
Désormais, l’Etat finance les jeunes entreprises, le gouvernement voulait rendre aussi moins douloureux que possible le déclin du géant de la téléphonie mobile et s’assurer que la prospérité du pays ne repose plus jamais sur une seule firme.
Autres indicateurs
La Finlande a été le premier pays de son continent à accorder le droit de vote aux femmes ainsi que le premier au monde à les rendre éligibles autant que les hommes.
Le pays continue de préserver son modèle social avancé mais le vieillissement de la population risque de peser sur la soutenabilité des finances publiques si des réformes structurelles ne sont pas mises en place.
6-Une évaluation du soft power du pays :
Reconnaissance médiatique et culturelle
La culture finlandaise se distingue de celle des pays voisins. Malgré son passé avec la Russie, la culture finlandaise est plus influencée par la Suède et l’Allemagne.
Le sentiment d’identité culturelle est né au XIXème siècle et a entrainé un sentiment d’identité nationale.
Le 28 février est le jour du Kalevala, jour de célébration de la culture finlandaise.
Vecteurs d’influences (cinéma, médias, diasporas…)
La Finlande à longtemps était un pays de forte émigration. En effet, en à peine plus d’un siècle 1.4 millions de personnes ont quitté le pays, notamment pour se diriger vers la Suède (40%), les Etats-Unis (20%) ou la Russie (12%).
Pour ce pays de plus de 5 millions d’habitant, le solde migratoire n’est positif que depuis 1981. Puisque depuis 1945, 600 000 personnes ont quitté la Finlande contre 800 000 qui y sont rentrées.
Aujourd’hui, on décompte 250 000 finlandais qui vivent à l’étranger, dont la majorité en Suède.
La Finlande est l’un des pays des plus consommateurs de presse écrite.
Il existe quatre chaines de télévision en Finlande, dont deux sont publics et n’utilisent pas les publicités pour se financer.
On dénombre, en Finlande, huit radios nationales, dont deux émettent en langue suédoise.
Dans la seconde moitié du XIXe siècle, la renaissance artistique de la Finlande est indissociable de l’émergence du sentiment national finlandais face aux dominations suédoise et russe. Inspiré par le romantisme russe, Jean Sibelius demeure le compositeur emblématique de la Finlande, avant tout par les chants folkloriques finlandais, comme le poème symphonique “Finlandia”.
En littérature finlandaise, Aleksis Kivi, est considéré comme l’un des pères fondateurs. Connu pour son roman « les sept frères » traduit dans plus de quarante langues, et sa pièce de théâtre « Les Cordonniers de la lande ». Cependant, c’est Mika Waltari, l’auteur finlandais le plus connus mondialement. Parmi les œuvres de l’auteur, “Sinouhé l’Egyptien”, “Un inconnu vint à la ferme”, “Jamais de lendemain” sont traduits en français.
Pour le cinéma, c’est Aki Kaurismäki, le cinéaste international qui manifeste la contribution de la Finlande au courant culturel. Il s’appui sur l’observation des spécificités de la société finlandaise et la tradition de la création artistique nationale pour construire des narrations de portée universelle, comme l’Homme sans passé, en 2002.
ONG
La Finlande faisant partie de l’Europe, elle est présente dans les différentes associations européennes.
La Finlande agit sur son territoire mais aussi à l’extérieur. Il existe des ONG notamment dans la protection du droit humain.
7-Conclusion générale
La Finlande est un pays de référence, comme les pays scandinaves voisins, en matière de corruption, de violence, d’économie… On parle de modèle nordique.
C’est donc un pays qui semble prospère depuis la fin de la guerre d’Hiver, son indépendance, et son état de neutralité. Malgré sa position, les récentes crises économiques ont affaiblis l’économie finlandaise. La descente du géant finlandais Nokia, la difficulté dans l’industrie du métaux et du papier. Tout cela a conduit à une baisse de l’emploi et une chute de la consommation domestique. Simultanément, la Finlande subit aussi les affres d’une démographie défavorable et sa population vieillit. Ici comme dans beaucoup d’autres pays développés, de moins en moins de travailleurs doivent prendre en charge de plus en plus de retraités.
Sur le plan intérieur, la Finlande est un pays profitant d’une faible criminalité et d’une absence de conflit politique et sociaux. La vie politique est encadrée rigoureusement et les droits et libertés y sont protégés. La Finlande est aussi bénéficiaire du triple A auprès des trois principales agences de notation (Standars & Poor’s, Moody’s et Fitch).
Toutefois, la Finlande demeure incontestablement une économie forte et en bonne santé, ce qui signifie qu’il est encore possible de mettre en œuvre des réformes structurelles.
Pour l’avenir, la Finlande a deux défis : gérer le vieillissement de sa population et réussir un processus de “destruction créatrice”. Le prochain défi sera de garder les jeunes entrepreneurs au pays.
SWOT
Force -Respect des règles -Investissement important dans la recherche et développement -Faible taux de corruption -Innovation des entreprises -Mise en avant des start-up -Système éducatif et supérieur de haut niveau -une économie diversifiée -Niveau de développement très élevé -Bons antécédents en matière de politique économique -Industries de pointe -Endettement privé contenu -Niveau de vie élevé |
Faiblesse -Dépendance des marchés européens -augmentation du chômage -euro fort -Géographie et climat difficile, peu de possibilité pour le secteur agricole. -Forte vulnérabilité à la conjoncture internationale -Manque de compétitivité -Dépendance du secteur bancaire finlandais aux secteurs financiers suédois et danois ; crédit bancaire à taux variable et concentré sur l’immobilier |
Opportunité -Pays de référence (image de marque) de pays -Innovation et rigueur budgétaire -développement économique de ses partenaires |
Menace -concurrence dans la télécommunication (Nokia risque de continuer à descendre) -vieillissement de la population, baisse de la population active |
8-Liens intéressant pour aller plus loin
21 août 2012, « FICHE D’INFORMATION DE L’ÉTAT : FINLANDE »
http://www.operationspaix.net/63-fiche-d-information-de-l-etat-finlande.html
20 aout 2013, “Finlande”
http://www.touteleurope.eu/les-etats-membres/donnees-de-base-sur-les-etats-membres/detail-pays/finlande.html
http://www.oecd.org/fr/finlande/41571104.pdf http://www.oecd.org/fr/finlande/41571104.pdf
Sources
05 avril 2014, “Finlande”
http://www.tresor.economie.gouv.fr/pays/finlande
2006, « Le modèle nordique et le consensus sur la compétitivité en Finlande »
http://www.cairn.info/resume.php?ID_ARTICLE=RIPC_133_0447
2008, « SCIENCE ET INNOVATION : NOTES PAR PAYS »
http://www.oecd.org/fr/finlande/41571104.pdf
04 décembre 2013, « Rapport PISA »
20 aout 2013, “Finlande”
17 février 2014, “Un pays de la zone euro pourtant coté triple A s’apprête à plonger dans sa 3ème récession en 6 ans”
http://www.express.be/business
mars 2009, La justice en Finlande
http://voicilafinlande.fi/public/default.aspx?contentlan=32&culture=fr-FR
09 avril 2014, « Finlande »
http://perspective.usherbrooke.ca/bilan/pays/FIN/fr.html
30 octobre 2013, “Finlande”
http://www.stat.fi/index_en.html
juin 2013, 3Finlande”
13 février 2014, « Finlande »
janvier 2014, « Finlande »
http://www.universalis.fr/encyclopedie
Auteur: Banse Auriane et Houdry Adélie
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