Fiche pays – Comores

Introduction

L’archipel des Comores est constitué de quatre grandes îles, situées entre le canal du Mozambique et l’île de Madagascar. Il est partagé d’une part entre les Comores indépendantes (parmi lesquelles les îles Anjouan, Mohéli et Grande Comore) et d’autre part Mayotte, département d’outre-mer de la république française.

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L’indépendance de l’île de Mayotte vis-à-vis de l’union Comorienne a bien souvent été la source de contentieux entre les îles de l’archipel, notamment du point de vue politique.

Ces relations délicates entre les îles de l’archipel s’ajoutent à des problèmes économiques et ethniques, plongeant le pays dans une situation d’extrême pauvret��, sans réelles solutions d’avenir.

Cependant, le soutien récent des pays émergents, comme la Chine ou l’Arabie Saoudite, dans le budget du pays redonne un espoir de développement économique.

Dès lors, les nouvelles possibilités d’ouverture économique de l’union des Comores peuvent-elles être freinées par ses conflits/tensions structurelles ?

Il sera tout d’abord question de la relation entre l’archipel des Comores et la France depuis l’indépendance du pays. Nous étudierons par la suite les tensions structurelles au sein du pays, constituant des enjeux stratégiques face au soutien économique des pays émergents.

Données géographiques

Superficie : 1862 km2
Capitale : Moroni
Villes principales : Moroni (Grande Comore), Moutsamoudou (Anjouan), Fomboni (Mohéli)
Langues officielles : comorien, français, arabe
Langues courantes : comorien, français
Monnaie : franc comorien (492 FC = 1€, taux fixe, zone franc)
Fête nationale : 6 juillet (indépendance en 1975)

Données démographiques

Population : 795 000 (Banque mondiale, 2016)
Population vivant à l’étranger : 562 000 (Banque mondiale, 2015)
Densité : 423 habitants/km2 (BM, 2015)
Croissance démographique : 2,4 % (BM, 2015)
Espérance de vie à la naissance : 64 ans (Banque mondiale, 2015)
Taux d’alphabétisation (en % de la population de plus de 15 ans) : 78 % (BM, 2015)
Religions : islam sunnite de rite chaféite (98%, religion officielle), catholicisme (2%), récent renouveau du chiisme
Indice de développement humain : 159e sur 187 pays (PNUD, 2015) – 32e sur 52 pays africains à l’Indice de gouvernance Mo Ibrahim 2015

Relations avec la France depuis l’indépendance des Comores

Contexte historique du protectorat français

Au milieu du XIX siècle, après de nombreuses guerres sultanes sur l’archipel des Comores, le sultan Andrian Souly (ou Adriantsoly), dirigeant de l’archipel, décide de céder les Comores à la France contre un protectorat militaire et du développement de l’éducation des enfants Comoriens.

Ainsi, le roi Louis-Philippe voyant ici une opportunité d’acquérir un port à l’entrée du canal du Mozambique, signa le traité justifiant le protectorat français aux Comores le 25 avril 1841.

Cette situation géographique est alors stratégique dans la mesure où la France veut occuper le maximum de territoire dans l’océan Indien face aux flottes anglaises.

Le protectorat français aux Comores s’arrêtera en 1892 car un accord passé deux ans plus tôt entre la Grande-Bretagne et la France entraina le partage des îles d’Afrique Sud-est. La première obtient alors les îles de Zanzibar et l’autre, l’archipel des Comores ainsi que l’île de Madagascar.

Suite à cela, des décrets de rattachement des autres îles Comoriennes à Mayotte et Madagascar furent prononcés, avant qu’une loi d’annexion vu le jour le 25 juillet 1912.

Cette loi entérina la création d’une colonie française entre toutes ces îles. Ceci entraina par la suite de violentes révoltes sur l’archipel de Comores, ce qui nécessitera par la suite à repenser le statut politique de ces îles colonisées.

Mayotte, création conflictuelle d’un DOM au sein de l’union des Comores

Les révoltes de 1915 sur l’île de Grande Comore et en 1940 sur l’île d’Anjouan nécessitèrent de créer une autonomie administrative en 1946. L’assemblée territoriale des Comores décida en 1958 d’obtenir le statut de territoire d’outre-mer (TOM). Mayotte quant à elle, choisi le statut de département d’outre-mer (DOM), suite vote favorable à 85% par référendum.

A la fin de l’année 1974, l’Etat français proposa aux habitants de l’archipel des Comores de choisir, par un référendum, entre l’indépendance de leur territoire ou la conservation d’un statut de citoyen français. Les îles Anjouan, Mohéli et Grande Comore choisirent l’indépendance à 95%, et Mayotte la conservation de leur citoyenneté française.

Mayotte obtient alors le statut de collectivité territoriale, administré par un préfet de la république française, suite à la loi 24 décembre 1976 et de l’article 72 constitution. Les autres îles décident quant à elles de proclamer la république fédérale islamique des Comores le 1er octobre 1978.

Cependant, la république fédérale islamique revendique l’appartenance au territoire de Mayotte car le statut de collectivité territoriale était stipulé provisoire. L’ONU a de plus adopté une résolution pour le retour de Mayotte à la république fédérale islamique des Comores.

Il aura fallu attendre 2011 pour qu’une consultation de la population sur le statut de Mayotte, prévue pourtant dans les 3 années suivant la loi de décembre 1976, voit le jour.

Après avoir été une collectivité départementale en 2001, un référendum est proposé aux habitants en mars 2009. Le choix d’une transformation de Mayotte en un département est approuvé à la majorité. C’est ainsi que Mayotte devient le 31 mars 2011 le 101ème département français (et le 5ème d’outre-mer), malgré l’opposition de l’ONU.

Un solde migratoire important

L’officialisation de la création du 101ème département français au sein de l’archipel des Comores est ainsi le résultat d’un long processus d’institutionnalisation. L’accomplissement de ce processus vient d’une volonté forte des Mahorais de rester Français.

Ainsi, le département d’outre-mer des Comores voit sa croissance peu à peu évoluer, notamment d’un point de vue démographique. Mayotte a vu sa population quintuplée entre la fin des années 1950 et la fin du XXème siècle, pour se stabiliser et atteindre 212600 habitants en aout 2012 (source INSEE). Cette explosion démographique est la raison pour laquelle plus de la moitié de la population à moins de 18 ans, faisant de Mayotte le département le plus jeune de France.

La démographie de Mayotte s’explique par un taux de natalité supérieur au taux de mortalité depuis 1982 (INSEE), mais aussi par d’importants flux migratoires.

Tout d’abord, l’émigration des Mahorais vers la métropole ou l’île de la Réunion s’explique le plus majoritairement par des raisons professionnelles. Les habitants de Mayotte veulent quitter l’île pour favoriser leur poursuite d’études ou pour développer leur insertion professionnelle.

Cependant ces vingt dernières années, l’émigration des Mahorais vers la Réunion s’explique par des raisons de protections sociales. Ce sont, pour la plupart, de jeunes femmes non diplômées ne trouvant pas de travail à Mayotte et qui vivent des aides sociales de l’Etat. Ces flux migratoires extérieurs tendent à stabiliser la démographie Mahoraise depuis le début du XXI siècle.

Quant à l’immigration, cette dernière se caractérise par l’arrivée d’étrangers provenant des Comores, notamment l’île d’Anjouan. Selon le ministère de l’économie et des finances, ils sont près de 300000 Comoriens à vivre en France en 2017, dont 100 000 à Mayotte. Ces derniers viennent sur l’île afin de trouver de meilleures possibilités de travail, mais aussi pour permettre aux femmes d’accoucher dans de meilleures structures hospitalières. C’est ainsi que la maternité de Mamoudzou, capitale de Mayotte fut en 2002 la première maternité de France avec 4000 naissances.

Ainsi, le solde migratoire Mahorais reste important dans la mesure où l’attractivité de l’île s’oppose à des difficultés structurelles sur les autres îles des Comores.

Evaluation des risques économiques et politiques au sein de l’Union

Tensions économiques et réseau public risqué

Les problèmes structurels de l’union des Comores peuvent s’expliquer tout d’abord par une forte instabilité économique. Le pays concentre l’essentiel de son économie à l’activité agricole, qui emploie 80% de la population. Parmi les matières premières produites, on retrouve la vanille, les girofles et l’huile essentielle d’ylang ylang. Ces 3 produits représentent près de 70% des exportations du pays, et près d’un tiers du PIB (30 % selon le ministère de l’économie et des finances).

Ainsi, la balance commerciale est déficitaire en raison des faibles exportations (liées aux aléas climatiques qui rendent incertaines les récoltes) et des nombreuses importations dont le pays à besoin. Ce déficit structurel, atteignant plus de 220 millions d’euros en 2015, nécessite des aides constantes des organisations internationales et des revenus de transfert.

Egalement, le secteur privé, notamment bancaire et financier, est pratiquement inexistant en raison d’un environnement instable et peu propice au développement des entreprises étrangères.

Les Comores sont ainsi classées 153ème pays sur 190 pour le développement des affaires (selon le classement Doing Business 2017).

Le réseau public est aussi très instable dans la mesure où les réseaux routiers et électriques sont insuffisants et ne permettent pas de favoriser l’arrivée d’investisseurs privés, pouvant donner une dynamique économique. Les Comores font ainsi partie des pays les moins avancés du monde (PMA).

Cette instabilité économique est une des principales raisons du retard de développement du pays (159e pays en termes d’indice de développement humain en 2015) et d’un taux de chômage structurellement haut (40% des actifs et 83% des jeunes diplômés selon France diplomatie).

Une politique intérieure fragile

Les tensions politiques viennent alimenter le climat d’instabilité qui règne sur l’union des Comores. En effet, depuis l’indépendance du pays en 1978, de nombreuses tentatives de coups d’Etat et de crises indépendantistes sont venus déstabiliser le pouvoir mis en place. Le putsch le plus important de l’histoire du pays reste celui du colonel Azali Assoumani en 1999. Ce dernier est ainsi devenu le chef d’Etat entre 1999 et 2006.

En 2016, les dernières élections ont encore nommé le colonel à la présidence du pays, pour un nouveau mandat de 5 années. La constitution prévoyant une gouvernance tournante entre les îles, Grande Comore devient l’île gouvernante, en la personne du colonel Assoumani.

Le nouveau gouvernement doit faire face à des enjeux majeurs, parmi lesquels l’amélioration d’un réseau routier et public délabré, la corruption, ainsi que la montée de l’islam radical.

Les problèmes ethniques et religieux

Historiquement, les Comores ont une culture axée autour de la religion musulmane.

En effet, après un premier peuplement de l’archipel par les Austronésiens entre le VIIIème et le XIIème siècle, les populations d’origine Arabo-persane ont introduit la religion musulmane sur l’ensemble des quatre îles de l’archipel. La première Mosquée vit alors le jour au XIIIème siècle et celle de Mayotte en 1538, étant ainsi la plus ancienne de France (Mosquée de Tsingoni).

Les premières communautés musulmanes des Comores furent créées par cette population originaire de Chiraze (Iran), dont les sépultures découvertes sur l’île de Mayotte démontrent leur présence à l’époque. Ainsi, ces dynasties chiraziennes ce sont alors alliées avec les chefs comoriens pour créer une nouvelle organisation politique, le sultanat.

Dès lors, la langue et l’écriture s’orientent autour de l’Arabe et la doctrine chafiite est adoptée. Il s’agit d’une des quatre branches du sunnisme dont la jurisprudence régit le droit traditionnel Comorien.

Par ailleurs, les invasions malgaches et explorations européennes (Portugal, France, Grande-Bretagne) du XVIème siècle viennent ébranler les organisations sultanes des Comores. Les Malgaches s’installent alors sur l’île de Mayotte, après les raids effectués contre les sultans sunnites.

Ceci peut expliquer en partie les conflits ethniques actuels entre les Mahorais et les anciens sultans d’Anjouan (et les Arabo-Comoriens).

La difficulté actuelle des Comores d’un point de vue juridique est la conciliation du droit pénal français, dont Mayotte est soumis, avec le droit traditionnel islamique comorien. Ce dernier est composé de juges musulmans, appelées cadis, qui exercent leur fonction de juge civil mais aussi des activités religieuses musulmanes.

Ainsi, la montée de l’islam radical aux Comores est une situation dont les autorités locales prennent au sérieux, car le gouvernement en place doit assurer la sécurité et créer un environnement favorable aux possibilités de développement de l’union.

Le soutien des pays émergents : enjeux stratégiques de l’union

Comme nous l’avons vu précédemment, les nombreux conflits structurels (politique, économique et ethniques) de l’union des Comores ne lui permettent pas d’assurer seule son développement.

Pourtant, le soutien économique actuel des pays émergents, notamment l’Arabie Saoudite et la Chine, permet de repenser la situation de l’union des Comores comme PMA.

Le soutien de l’Arabie Saoudite ; stratégie de contrôle des routes maritimes

Le soutien financier (fin 2015) de l’Arabie Saoudite à la réduction de la dette économique des Comores, à hauteur de 40 millions d’euros (8% du PIB), démontre les relations étroites qu’entretiennent les deux pays. Les Comores font partie de la ligue Arabe et ont signé des accords de coopération économique et militaire avec les pays de la péninsule Arabique (Arabie Saoudite, Emirats arabes unis, Koweït, Iran, Qatar). Ces derniers accords ont été rompus pour la plupart, afin de laisser place à un soutien unique de l’Arabie Saoudite face aux conflits au Moyen-Orient.

Les relations entre les Comores et l’Arabie Saoudite sont essentiellement stratégiques, dans la mesure où l’archipel est situé à l’entrée nord du canal du Mozambique. Une des routes maritimes pour l’acheminement du pétrole Saoudien vers l’Europe passe par cette zone risquée du globe.

En développant leurs relations diplomatiques avec l’union des Comores, les Saoudiens s’assurent du contrôle de la zone géographique, carrefour maritime stratégique.

Pour les Comores, le soutien Saoudiens leur permet d’alléger considérablement le poids de la dette, et d’espérer un développement économique à l’avenir.

Le soutien de la république populaire de Chine ; stratégie de développement des terres africaines

L’empire du milieu a quant à lui investi dans la construction d’infrastructures, notamment le port de Mohéli ou le Palais du Peuple. Son soutien économique s’est traduit également par le développement de la formation professionnelle dans tous les secteurs économiques, ainsi que dans la réduction du déficit budgétaire des Comores.

La stratégie de soutien menée par la république populaire de Chine a pour objectif l’acquisition de terres cultivables sur le sol comorien. Elle fait partie de cette politique d’expansion des terres cultivables sur le continent Africain, dont les Chinois entendent contrôler la majeure partie. L’objectif est d’ainsi développer l’activité économique sur ces territoires tout en assurant au peuple Chinois les ressources alimentaires et énergétiques nécessaires à ses besoins.

Conclusion

L’étude de la situation actuelle de l’archipel des Comores permet de comprendre les enjeux auxquels cette dernière doit faire face.

Tout d’abord, ses relations historiques avec la France démontrent à quel point les besoins de cet archipel de l’océan Indien sont conséquents.

En effet, la nomination officielle de Mayotte comme département d’outre-mer Français a permis à l’île de prospérer davantage que les autres îles composant l’union des Comores. Malgré de vives tensions entre ces territoires insulaires, ainsi qu’entre les instances diplomatiques mondiales (ONU, France, union des Comores), l’éducation française a été développée, de même que le soutien économique et migratoire (flux des travailleurs Mahorais vers la France).

Ce soutien majeur contraste avec les problèmes structurels majeurs qui composent l’union des Comores. Le retard de développement économique s’accompagne de tensions diplomatiques. Les nombreux coups d’Etat, ainsi que le faible développement des infrastructures de l’archipel soulignent le climat hostile dans lequel les entreprises doivent faire face pour développer leurs activités. Dans de telles conditions le retard de développement est inéluctable, entrainant de grandes tensions éthiques et religieuses. La tradition sunnite aux Comores associé à un contexte économique instable, favorise l’émergence d’un islam radical au sein de la population.

Cependant, face à ses tensions structurelles, le soutien économique des pays émergents, tels que l’Arabie Saoudite et la Chine, ravive la possibilité de sortir du sous-développement. Les relations diplomatiques entre ces pays sont dès lors cruciales pour l’ouverture économique des Comores.

Les pays émergents y voient des opportunités. Pour l’Arabie Saoudite, de culture également sunnite, cela se traduit par le contrôle d’une zone de transport maritime fragile pour l’exportation du pétrole (canal du Mozambique). La Chine y voit quant à elle une opportunité de développer les terres cultivables sur les îles de l’archipel. Cette politique fait partie d’un long processus d’acquisition des terres agricoles sur le continent Africain.

Ainsi, les possibilités de sortir d’une situation de sous-développement sont réelles pour l’union des Comores. Par ailleurs, les tensions structurelles sur l’archipel doivent s’apaiser, notamment par la croissance démographique et l’éducation, qui permettrait aux nouvelles générations d’assurer leur développement tout en stoppant la montée de l’islam radical. Cet objectif doit suivre l’exemple de la population mahoraise qui, grâce au soutien de l’Etat Français, a favorisé son essor économique, éducatif et démographique.

Forces Faiblesses
Relations importantes avec l’Etat Français

Présence de Mayotte dans les DOM

Soutien économique et financier de la France

Secteur agricole important (80% de l’économie)

Exportations de vanille, fruits exotiques

Représentent 70% des exportations de l’union

Développement démographique important

Atout futur pour l’activité économique

Croissance démographique de 2.4%

Risques économiques importants

Réseau routier et électrique insuffisant, peu propice au développement des entreprises

Instabilité financière, aide de la banque mondiale et du FMI

Secteur industriel et tertiaire inexistant

IDH très faible (159ème pays sur 187)

Tensions politiques structurelles

Nombreux coups d’Etats depuis l’indépendance de 1978

Risques ethniques et religieux

Tensions entre les Mahorais et les Arabo-Comoriens

Montée d’un islamisme radical risquant de mettre en péril les opportunités économiques de l’union

Opportunités Menaces
Soutien de l’Arabie Saoudite et de la Chine

Possibilité de prospérer économiquement avec la réduction des déficits économiques et relance de l’agriculture (rachats des terres cultivables par les Chinois

Soutien de l’Arabie Saoudite dans l’acheminement du pétrole par le canal du Mozambique (zone stratégique pour le pays)

Flux migratoires (vers l’Europe ou la réunion) importants

Risques de pertes des « brain-drain »

300 000 Comoriens vivent en France

Sources 

https://www.insee.fr/fr/statistiques/1281384

https://www.insee.fr/fr/statistiques/2381868

https://www.cairn.info/revue-outre-terre1-2005-2-page-515.htm

http://www.decryptnewsonline.com/2016/01/comores-une-marionnette-de-plus-a-la-merci-de-riyad.html

http://fr.wikipedia.org/wiki/Comores_%28pays%29 Wikipédia

Diplomatie.gouv.fr/union des Comores http://www.diplomatie.gouv.fr/fr/pays-zones-geo_833/comores_403/presentation-union-comores_1344/index.html

France culture http://www.franceculture.fr/emission-les-enjeux-internationaux-outre-mer-departementalisation-de-mayotte-2011-04-08.html

France culture: les enjeux internationaux http://www.franceculture.fr/oeuvre-les-grands-d%C3%A9fis-de-la-politique-%C3%A9trang%C3%A8re-des-comores-de-mohamed-el-amine-souef.html

Le canal du Mozambique, un enjeu http://survie.org/billets-d-afrique/2012/214-juin-2012/article/le-canal-du-mozambique-un-enjeu

Loi sur la zone maritime http://comoresdroit.comores-droit.com/wp-content/dossier/maritime/Loi%20sur%20la%20zone%20maritime.pdf

Livre sur les Comores http://books.google.fr/books?id=zCztkIL7xcsC&pg=PA31&lpg=PA31&dq=les+comores+zee&source=bl&ots=mj9RNC-7cf&sig=flaD5dJ1NVGaB6HouV00YYSslq0&hl=fr&sa=X&ei=sOgiVKbOM5KPsQTSmILwCg&ved=0CG0Q6AEwDQ#v=onepage&q=les%20comores%20zee&f=true

Article sur les ambitions  pétrolières des Comores :
http://www.clicanoo.re/?page=archive.consulter&id_article=395992
http://www.la1ere.fr/2013/12/09/les-comores-parient-sur-le-petrole-92093.html
http://reunion.la1ere.fr/2014/03/20/les-comores-integrent-mayotte-dans-les-lots-de-prospection-pour-le-petrole-shore-133749.html
http://watwan.over-blog.com/2014/06/exploration-petroliere-comorienne-dans-la-zee-mahoraise.html
http://www.habarizacomores.com/2013/11/le-petrole-les-comores-et-la-france.html

France diplomatie: les Comores
http://www.diplomatie.gouv.fr/fr/dossiers-pays/comores/la-france-et-les-comores/presentation-21257/

COI hollande (4ème sommet):
http://reunion.orange.fr/news/ocean-indien/les-comores-defient-hollande,1628703.html
http://mlimengu.com/2014/08/23/le-contentieux-territorial-franco-comorien-sest-invite-au-sommet-de-la-coi/
http://tsimokagasikara.wordpress.com/2014/08/23/sommet-coi-hollande-les-comores-ne-peuvent-plus-revendiquer-mayotte/
http://jeannotramambazafy.overblog.com/2014/08/moroni-23-aout-2014-discours-de-francois-hollande-video.html
http://lejournaldemayotte.com/une/exploration-petroliere-comorienne-dans-la-zee-mahoraise/

Ressources naturelles Comores: http://www.invest-comoros.com/legal-natural-resources-and-geographic-profile

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