La NAMIBIE
- Introduction
La Namibie, dont le nom officiel est République de Namibie, est un pays d’Afrique Australe au régime parlementaire. Élu au suffrage universel direct Hifikepunye Pohamba est le président de la République de Namibie pour un mandat de 5 ans renouvelable une fois.
Autrefois colonie Allemande, la Namibie est devenu un protectorat de l’Afrique du Sud en 1915, puis a gagné son indépendance le 21 mars 1990, après les premières élections générales qui seront remporté par le SWAPO.
La capitale de la Namibie est Windhoek situé au centre du pays. La langue officielle est l’anglais, d’autres langues sont cependant fortement présentes dans le pays ; c’est le cas de l’oshivambo qui est la langue maternelle de 49 % de la population, mais également de l’afrikaans (11 %), et de l’allemand pour 2% de la population.
On décompte neuf ethnies en Namibie (Basters, Capriviens, Damara, Héréro, Kavango, Nama, Owambo, San, Tswana). La population totale en 2013 était de 2 182 851 dont 49,8 % pour les Ovambos, 9,3 % pour les Kavangos, 7,5 % pour les Damaras et 7,5 % pour les Herreros, pour une densité de 2,5 hab./km², et une croissance démographique de 0,75% par an.
Le pays possède un IDH (Indice de développement humain) de 0,625 ce qui en fait le 120ème pays sur 187 (source PNUD 2011).
La monnaie de la Namibie est le dollar namibien (NAD). (1 € = 14,74 NAD au 27/03/2014), parité fixe avec le rand sud-africain.
2- Le risque politique
Le contexte politique de la Namibie est relativement stable. Cette stabilité a été prouvé par les dernières élections qui ont confirmé la prépondérance de la SWAPO (Organisation du peuple du Sud-Ouest africain) sur la scène politique. La SWAPO est au pouvoir depuis l’indépendance en 1990 et détient aujourd’hui encore près de trois-quarts de voix. En vertu de l’application de la constitution, le président actuel : Hifikepunye Pohamba (élu avec 76,4% des voix) ne pourra pas effectuer de troisième mandat ; il y aura donc un changement de président aux élections de novembre 2014. Les gouvernements ont mis un point d’honneur à la réduction de la corruption. Les politiques alors mises en oeuvre se sont révélées être fructueuses puisqu’on assiste à une chute de 23% de la corruption en 8 ans, ce qui en fait un des pays les mieux classés du continent, elle se trouve à la 57e place au classement mondial (sur 177) en comparaison l’Afrique du Sud est 72e et la France 22e (source : Transparency International).
Tous les présidents élus et donc membres du Swapo sont issus de l’ethnie Ovambo, cependant en novembre 2014 . Geingob pourrait devenir le premier chef de l’Etat namibien non issu de l’ethnie majoritaire Ovambo. L’opposition quant à elle est très fragmenté et ne représente en aucun cas une menace pour le Swapo ces partis d’opposition sont repliés sur des niches ethniques ou régionales, les pressions ethniques sont donc relativement faibles. Néanmoins le parti au pouvoir souffre de divisions internes qui ont conduit a une scission donnant naissance au RDP en 2007. Aujourd’hui ces divisions sont notamment expliquées par l’émergence d’une aile plus radicale (Ligue des jeunes) qui demeure toutefois minoritaire.
Malgré ses efforts la Namibie reste un des pays où les inégalités sont les plus présentes. L’indice de Gini y est de 0.6 selon l’enquête sur les dépenses et les revenus des ménages en Namibie (Namibia Household Income and Expenditure Survey – NHIES). On estime que 10% des ménages les plus riches détiennent à eux seuls la moitié de la richesse nationale. On perçoit également des forts clivages entre les zones rurales et citadines : 42.2% de la population rurale vit en dessous du seuil de pauvreté national, contre 6.7% de la population citadine. En milieu citadin le revenu est 3 fois supérieur à celui d’un revenu rural, pour illustrer plus en profondeur ces disparités le revenu d’un exploitant commercial est 8 fois supérieur à celui d’un exploitant de subsistance. Le taux de scolarisation dans le secondaire est de 52%, ceci s’explique notamment par la faiblesse des infrastructures dédiées à l’enseignement secondaire, principalement dans les régions du nord, pour des raisons historiques.
La Namibie connaît très peu de conflit interne, en fait depuis son indépendance elle connaît une paix et une stabilité, pour le moment, durable. Toutefois, et même si la situation en Afrique Australe est plus calme que dans le passé, la Namibie pourrait être confronté à des conflits avec ses voisins. Il y a des problèmes de sécurité récurrents dans les régions du nord et du nord-est (Caprivi, Kavango, Ohangwena), risques de débordements violents depuis l’Angola politiquement instable pouvant atteindre les réserves locales. La gestion de l’eau est pour la Namibie (un des pays les plus secs au monde) primordiale. C’est pourquoi des problématiques frontalières demeurent avec l’Afrique du Sud pour la gestion du fleuve Orange et le Botswana pour la gestion des ressources en eau de la rivière qui alimente le delta de l’Okavango. Par ailleurs la Namibie tendrait à resserrer plus étroitement ses liens avec l’Angola, pour contrebalancer la domination de l’Afrique du Sud au sein de la SADC (Southern African Development Community).
Comme dit précédemment, la Namibie bénéficie d’une situation politique stable, cependant il est bon de noter que les conditions de sécurité au sein du pays ne sont pas de même qualité. En effet, du fait de ses inégalités sociales criantes une grande délinquance sévie, en particulier dans les grandes villes. Une vigilance renforcée est donc nécessaire. A Windhoek ainsi que dans les autres grandes agglomérations les conditions de sécurité connaissent une baisse importante qui entraine l’application de règle de sécurité. Si l’ensemble du territoire namibien ne présente pas les mêmes problèmes de sécurité qu’en Afrique du Sud, il ne faut pas sous-estimer l’insécurité de la capitale ainsi que de Swakopmund (situé sur la côte Atlantique). Les vols, parfois avec agressions physiques sont fréquents, (surtout au moment de retraits aux distributeurs automatiques, ou par des pickpockets) de jour comme de nuit. De nombreux cas d’agression à l’arme blanche sont par ailleurs recensés dans les quartiers Nord et Ouest de la capitale, et ces derniers sont principalement tournés vers des touristes français. Les fraudes à la carte bancaire sont également fréquentes.
En ce qui concerne le terrorisme, la Namibie n’a jamais connu de réelles menaces. Cette menace historiquement faible posée par les groupes terroristes locaux et internationaux de la région n’a donc pas donné naissance à une politique antiterroriste développée. Toutefois le Ministre de la sûreté et de la sécurité de la Namibie, M. Nangolo Mbumba en collaboration avec l’ONU, tente de renforcer les mesures existantes, et de convaincre les gouvernements régionaux d’élargir leur marge de sécurité, car selon lui « Toute attaque terroriste internationale majeure contre nos pays membres peut nous faire basculer dans une récession économique globale ».
3-Evaluation des risques économiques et financiers :
En 2012
- Le PIB par habitant : 5347 USD
- Le taux de croissance du PIB : 5%
- Le taux d’inflation annuel : 6.5%
- Le solde budgétaire : -3.9% du PIB
- Le solde courant : -2.6% du PIB
- La dette externe (en % du PIB) : 25.8%
- Le solde commercial : -1800 M USD
- La stabilité du taux de change : rattaché au Rand africain
Entre 1995 et 2011, la Namibie a enregistré une croissance annuelle moyenne du PIB de 4.3%, et de 5,10 entre 2010 et 2012 en en faisant un des pays à revenus intermédiaires. Les performances du pays sont tout de même liées aux évolutions de la demande extérieure. La principale ressource du pays provient de son sous-sol et de ses nombreuses mines d’uranium, de cuivre, d’argent ou de diamants dont la Namibie est désormais dépendante. Ces ressources représentent 50% des recettes de l’exportation dont les ventes de Diamants représentent 25% du total des ventes. Poumon de l’économie namibienne, c’est principalement grâce à l’Union douanière d’Afrique australe (SACU) que ce secteur est fructueux. Dans les autres secteurs, la Namibie reste dépendante de son voisin sud-africain. L’agriculture n’est pas un secteur très lucratif, mais elle fait vivre 206 000 ménages, soit 1,2 million de personnes (60% de la population totale), essentiellement dans l’agriculture de subsistance. Le gouvernement a donc mis en place des réformes agraires. La banque agricole de Namibie propose donc depuis plus de 20ans, une politique de discrimination positive : un programme de prêts préférentiels (AALS: Affirmative Action Loan Scheme). Les agriculteurs noirs ont donc la possibilité d’acheter des terres commerciales à faible coût. Aujourd’hui, près de 660 fermes ont été acquises grâce à ce programme. Mais un premier bilan fait apparaître que les AALS, profitent surtout à l’élite noire, car le prix des terres reste élevé. Le résultat de cette réforme est donc décevant. En plus de cette agriculture vivrière les ressource halieutiques présentent en Namibie sont une richesse pour le pays, mais pas assez régulier pour lui permettre de l’exploiter à fond.
L’attachement du Dollar namibien sur le Rand sud-africain et l’appartenance à la SACU (Union Douanière D’Afrique Australe) limitent les manœuvres monétaires et douanières, la politique budgétaire est donc l’unique outil permettant d’agir en soutien à la croissance.
La Namibie a mis en place une politique expansionniste qui vise à atténuer l’impact de la récession mondiale et à améliorer les problèmes de chômage, de pauvreté et d’inégalités, qui touchent ce pays. En effet le niveau élevé d’endettement des ménages (85 % du revenu disponible) et des entreprises, ainsi que la forte exposition au marché immobilier sont sources de fragilité.
Grâce à son système financier sophistiqué, la Namibie se classe en tête des pays d’Afrique subsaharienne en matière de gouvernance. Le pays, est peu touché par la corruption, il est donc le premier pays africain du classement de Transparency International (Association de lutte contre la corruption). Cependant le déficit courant continue à se creuser en raison de l’augmentation des importations de biens d’équipements nécessaires au développement des infrastructures des secteurs minier et gazier.
4-Une évaluation des risques géographiques et environnementaux :
Un des risques géologiques majeurs en Namibie est la sécheresse. En effet les précipitations annuelles s’établissent à 360 mm et l’évaporation à 3 400 mm, ce qui en fait le pays le plus sec de l’Afrique subsaharienne. Le pays dépend presque entièrement des cours d’eau éphémères ainsi que des ressources en eau souterraines. Il y a de fort clivage géographique quant à la pluviosité, en effet seul 5% du territoire reçoit plus de 500 mm de pluies.
La variabilité géographique accompagné des hautes variations saisonnières ainsi que l’évapotranspiration potentielle annuelle qui dépasse les précipitations annuelles (ratio 30:1) fait que la sécheresse est un phénomène courant sur la plupart du pays. Il faut savoir que la Namibie a été confronté en 2013 à sa pire sécheresse en trente ans, avec 300 000 personnes dans une situation d’insécurité alimentaire grave. Le gouvernement namibien a alloué 20 millions de dollars pour répondre à cette situation de crise, et a également lancé un appel à une aide extérieure.
La situation sanitaire de la Namibie est globalement satisfaisante : les installations médicales sont nombreuses (à Windhoek en particulier) et les médecins généralement bien formés et compétents. Un système de pharmacies de garde existe dans les villes les plus importantes. Cependant outre les risques géologiques la Namibie est également sujette à de fort risques sanitaires et épidémiques. Les premiers cas de VIH ont été recensé en Namibie ont été rapportés en 1986 et fin 2001, 230 000 adultes et enfants vivaient avec le VIH d’après le ministère de la Santé et des Services sociaux. Ceci s’est traduit par un recule l’espérance de vie à la naissance 53.9 ans en 1970-75 à 48.6 ans en 2000-05. D’après une étude du FMI (Fond Monétaire International) ceci pourrait avoir une influence sur le PIB en volume notamment en le comprimant d’un point de pourcentage sur la période 2006-11. Suite à cela les gouvernements ont mis plusieurs plans successifs en place depuis 1990, permettant principalement une baisse des prix des médicaments. On estime aujourd’hui que le VIH touche 21,3% de la population active.
En plus du VIH le pays est également, dans les parties du nord et du nord-est, zone plus humide, soumis au paludisme. On perçoit également de résurgences de maladies infectieuses dans les zones les plus peuplées et les plus insalubres (townships, Nord du pays) telles que la tuberculose, la poliomyélite et le choléra ; ainsi que des risques d’intoxications alimentaires.
Dans les zones les plus insalubres et les plus peuplées telles que les bidonvilles, il y a un fort risque de maladie endémique, avec une résurgence de maladies infectieuses telles que la tuberculose, la poliomyélite et le choléra.
5-Une évaluation du Hard power du pays :
La force de défense namibienne est créée après l’indépendance de la Namibie en 1990. Le rôle des forces armées est défini dans la nouvelle constitution, la force de défense Namibienne est donc responsable de la « défense du territoire et des intérêts nationaux ».
Ses quartiers-généraux sont situés à Windhoek et elle comprend environ 8 000 personnels actifs.
L’armée Namibienne est divisée en deux :
– L’armée de Terre composée de :
▪ 6 bataillons d’infanterie motorisée ;
▪ 1 bataillon de la garde présidentielle
▪ 1 régiment anti-char
▪ 1 compagnie de reconnaissance
▪ 1 compagne de soldats du génie
▪ 1 groupe d’artillerie
▪ 1 régiment de défense anti-aérienne
▪ 1 brigade de logistique et de soutien
– L’armée de l’air
La Namibie est membre de la SADC (Southern African Development Community) qui est une organisation qui vise le développement économique de l’Afrique australe. Grâce à cette union, la Namibie coopère entre l’Union européenne (UE) et la Namibie qui est principalement axée sur deux secteurs avec un budget de 103 millions d’euros:
- le développement rural
- l’éducation
En 2014, La Namibie a rejoint le Conseil des droits de l’homme et le Conseil de la paix et de sécurité de l’Union Africaine. Depuis 2013, elle préside également l’organe politique, de défense et de sécurité de la SADC (Southern African Development Community). La Namibie a notamment accueilli le sommet le 11 septembre dernier.
Après des années sous tutelle des Nations Unies, la Namibie est toujours attachée à l’action de l’ONU dans la résolution des conflits. Cependant elle tend vers une politique « contre le domination occidentale », notamment sur les dossiers internationaux. Elle plaide la cause du Sahara occidental, l’admission de la Palestine comme membre à part entière des Nations unies, ou encore la levée du blocus américain à Cuba.
Parmi les partenaires occidentaux de la Namibie, l’Allemagne, dont sont originaires 30 000 Namibiens, est depuis l’indépendance le premier bailleur de fonds bilatéral du pays. Depuis 2008, la Namibie bénéficie également d’une aide importante des Etats-Unis au titre du MCA (Millenium Challenge Account), elle développe ses relations avec de nombreux Etats non occidentaux, en particulier avec les BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud).
La Chine et la Namibie ont aussi signé un accord de coopération économique d’une valeur de 150 millions de yuans chinois (environ 25 millions de dollars américains). L’accord vise à permettre à la Namibie d’utiliser le Fonds chinois pour développer son infrastructure et son éducation pour des trois prochaines années.
6-Une évaluation du soft power du pays :
La Namibie sert régulièrement utilisé comme cadre pour les films d’aventures étrangers. Le cinéma Namibien se développe de plus en plus, notamment grâce à l’aide de l’ONG AfricAvenir qui vise à promouvoir le cinéma Namibien.
La Fondation AfricAvenir International est une ONG à but non lucratif. Elle a pour but de promouvoir la Renaissance de l’Afrique, le Développement, la Coopération Internationale et la Paix entre les peuples. Son siège est au Cameroun avec des sections à Berlin (Allemagne), Windhoek (Namibie) et Vienne et Graz (Autriche).
CONCLUSION :
Dernier pays à gagner son indépendance sur le continent africain, la Namibie bien que bénéficiant d’un contexte politique stable, elle reste un des pays les plus inégalitaires au monde. Ces inégalités, multiscalaires, sont particulièrement liées à son environnement. Les disparités sont telles, en Namibie, que l’on doit souligner une très forte dualité: d’un côté, les régions du Nord présentent toutes les caractéristiques d’un pays moins avancé, et de l’autre, toutes les caractéristiques ou presque d’un pays développé. Si la stabilité de la Namibie est assurée par une hégémonie politique, il n’en est pas de même la pérennité du pays et notamment des grandes villes confrontées à des problèmes récurrents de délinquances, augmentant ainsi l’insécurité. Bien qu’étant supportée par son secteur minier, la Namibie peine à s’imposer et reste sous une domination économique sud-africaine qui comble ses manques dans de nombreux autres secteurs. Malgré cette dépendance, elle parvient à afficher une croissance positive et ce depuis plusieurs années. Une des faiblesses principales de la Namibie est qu’elle reste soumise aux aléas climatiques et notamment à la sécheresse, plongeant ainsi la population dans une insécurité alimentaire et sanitaire et la rendant donc dépendante de l’aide internationale (comme ce fut le cas en 2013). Par ailleurs l’économie du pays se trouve affectée par le VIH qui touche 20% de la population active, sans compté les autres maladies de types endémiques. Grâce à sa politique expansionniste, la Namibie est un pays présent à l’international. En effet, elle préside le SADC et participe activement aux actions de l’ONU. La Namibie possède ainsi de nombreux partenariats, notamment avec les pays des BRICS, et de l’Union Européenne. Malgré sa présence à l’international, ce pays d’Afrique Australe tend tout de même vers une politique « contre domination occidentale ». Les perspectives à moyen terme demeurent donc favorables en Namibie, malgré des risques de baisse conjoncturelle liés aux incertitudes entourant l’économie mondiale et se classent parmi les 10 pays les plus compétitifs d’Afrique. Par ailleurs elle est en voie d’atteindre la plupart des objectifs du millénaire pour le développement (OMD) d’ici à 2015.
Pour aller plus loin ..
Une étude de l’ISEMAR, sur L’activité portuaire en Afrique australe : Etude comparée de la Namibie, de l’Afrique du Sud et du Mozambique.
http://www.isemar.asso.fr/fr/pdf/note-de-synthese-isemar-132.pdf
Comment exporter et importer avec la Namibie
https://www.tradesolutions.bnpparibas.com/fr/importer-exporter/154,namibie
Pour avoir plus d’information sur l’activité économique du pays :
SOURCE
- http://fr.wikipedia.org/wiki/Namibie
- http://www.lemonde.fr/afrique/video/2013/08/07/la-namibie-subit-sa-plus-grave-secheresse-depuis-30-ans_3458481_3212.html
- http://www.diplomatie.gouv.fr
- http://perspective.usherbrooke.ca/bilan/pays/NAM/fr.html
- http://mappemonde.mgm.fr/num25/articles/art10102.html
- http://www.coface.com/fr/Etudes-economiques-et-risque-pays/Namibie
- http://www.africaneconomicoutlook.org/fr/
- http://www.un.org/apps/newsFr/storyF.asp?NewsID=30262&Cr=namibie&Cr1=#.U1kmR15Q8b8
- http://www.africadiligence.com/tag/etude-de-marche-en-namibie/
- http://www.iiz-dvv.de/index.php?article_id=654&clang=2
- http://www.arroukatchee.fr/infos.namibie/sante-namibie.htm
- http://diplomatie.belgium.be/fr/Services/voyager_a_letranger/conseils_par_destination/afrique/namibie/ra_namibi_.jsp?referer=tcm:313-75126-64
- http://www.fao.org/ag/agp/AGPC/doc/Counprof/frenchtrad/namibia_fr/Namibia_fr.htm
- http://www.oecd.org/fr/pays/namibie/38581903.pdf
- http://www.geoter.fr/fr/news/news.htm
- http://www.panapress.com/Le-Botswana-et-la-Namibie-reglent-leur-conflit-frontalier–13-690031-17-lang4-index.html
- http://www.afrik.com/breve16837.html
- http://www.transparency.org
- http://www.un.org/fr/terrorism/ctitf/workshop_windhoek.shtml
- http://eeas.europa.eu/namibia/index_fr.htm
- http://www.statistiques-mondiales.com/namibie.htm
Coralie JEULIN & Maxence LACHARD 12 mai 2014
Étiquettes : Afrique australe, Namibie, risque pays