SAINT KITTS ET NEVIS
Introduction
Ce pays composé d’iles est un Etat situé dans les Petites Antilles, appelé Saint-Kitts-and-Nevis en anglais et Saint Christophe et Nièves en français. Il est situé au nord-ouest de la Guadeloupe, et fait partie du Commonwealth. Saint Kitts and Nevis est un État fédéral constitué de deux États, l’île de Saint-Kitts, d’une part, et celle de Nevis, d’autre part. Le pays s’est illustré ces dernières années dans le domaine de l’athlétisme et notamment en 2003, le sprinteur Kim Collins a remporté le 100 mètres lors des championnats du monde d’athlétisme à Saint-Denis, en France.
Proclamée en décembre 2012 dans le cadre du projet de l’Assemblée générale des Nations Unies, l’année internationale des petits États insulaires désire mettre en avant la contribution de ce groupe de pays à l’activité mondiale, notamment à travers leur culture très riche, et leur très grande diversité. Ce projet montre également que les habitants de ces états insulaires font d’énormes efforts pour résoudre les problèmes mondiaux notamment du fait de leur ingéniosité, de leur innovation et de l’utilisation de leur savoir-faire traditionnels. Nous sommes tous concerné par les défis auxquels sont confrontées ces îles, car ces derniers sont déterminés à travailler avec tous les pays, pour trouver une solution et améliorer le future de leurs prochaines générations. Cette « année internationale » visera à instaurer des partenariats au service du développement durable.
Ainsi, nous pouvons nous poser la question suivante : De par ses contraintes environnementales liées à son insularité, comment Saint Kitts and Nevis fait-il pour se développer économiquement afin de prendre part dans l’économie mondiale ?
Dans un premier temps nous verrons une présentation générale de Saint Kitts et Nevis. Ensuite, nous verrons les principales activités économiques du pays qui favorise son développement. Et enfin nous terminerons par voir l’impact de sa politique extérieure.
I. Informations générales
a) Chiffres clés
Données gén��rales :
– Nom officiel : Fédération de Saint-Christophe-et-Niévès
– Nature du régime : Démocratie parlementaire
– Chef de l’Etat : Reine du Royaume Uni, Elizabeth II, représentée par le Gouverneur général Sir Edmund W. Lawrence (depuis le 2 janvier 2013)
– Denzil Llewellyn DOUGLAS : Premier ministre, ministre des Finances, du Développement durable, du Développement des ressources humaines, de l’Autonomie des circonscriptions et la Sécurité sociale
Données géographiques :
– Superficie : 261 km²
– Capitale : Basseterre
– Villes principales : Sandy Point et Cayon à Saint-Christophe, Newcastle sur Niévès.
– Langue officielle : Anglais
– Langues courantes : Anglais, créole kitticien
– Monnaie : Dollar des Caraïbes de l’Est ou EC$ (Eastern Caribbean Dollar) ; 1US$ = 2,70 EC$ (taux fixe depuis 1976)
– Fête nationale : 19 septembre (indépendance, 1983)
Données démographiques :
– Population : 60 000 habitants
– Taux de croissance (CEPALC 2011) : 1,2 %
– Espérance de vie (2011) : 73 ans
– Taux d’alphabétisation : 97,8 %
– Religions : Christianisme, dont 76 % protestants, 10 % catholiques et 9 % moraves
– Indice de développement humain (2011) : 0,735 (développement humain élevé, 72ème rang mondial)
b) Géographie
L’île de Saint-Kitts a une superficie totale de 176 kilomètres carrés, avec une longueur de 37 kilomètres et une largeur de 8 kilomètres. En son centre nous trouvons une chaîne volcanique qui s’allonge jusqu’au sud-est. Le mont Liamuiga est le point culminant de Saint-Kitts et s’élève à 1156 mètres. Un sable noir recouvre recouvres la plupart de ses plages. L’île compte un climat frais et agréable, avec une température moyenne de 27°c alors que les précipitations s’élèvent à 1400 millimètres par an.
L’île de Nevis à une superficie totale de 93 kilomètres carrés. Cette dernière est situé à 3 kilomètres au sud-est de Saint-Kitts, de l’autre côté du chenal appelé Narrows. Nevis se compose essentiellement de montagnes, son point culminant, le pic Nevis, s’élève à 985 mètres.
Christophe Colomb découvre l’île de Saint-Kitts en 1443, puis l’île de Nevis en 1498. L’île de Saint-Kitts est occupée à partir de 1623, et une cohabitation franco-anglaise s’opère à partir de 1625. L’île est reprise par les Espagnols en 1629. Or, en 1713 lors du traité D’Utrecht l’île fut rendue aux anglais qui l’ont conservée jusqu’à l’indépendance de Saint-Kitts. L’île de Nevis est occupée par les anglais à partir de 1628 et a formé ensuite avec Saint-Kitts et Anguilla le district de la colonie des îles du vent. En 1967, ces îles sont devenues un état associé du Royaume-Uni, tout en gardant une certaine autonomie. Or, en 1971 Anguilla prend son indépendance. Puis, en 1981, les îles de Saint-Kitts et Nevis deviennent membre de l’OECO (Organisations des Etats des Caraïbes Orientales). Douze ans plus tard, Saint-Kitts et Nevis obtient son indépendance le 19 septembre 1983. Enfin, en 1988, un référendum a lieu à Nevis, car les habitants de Nevis ont la volonté de se séparer de Saint-Kitts, mais ce référendum échoue du fait que la que la majorité requise n’est pas atteinte. Le débat sur la séparation des deux îles reste au goût du jour.
d) Signification du drapeau
Le drapeau reprend les couleurs panafricaines. Le rectangle vert représente la fertilité, le triangle rouge représente la lutte contre l’esclavage durant la période colonial. La large bande noire bordée de liserés jaunes évoque l’héritage africain. Enfin, les deux étoiles blanches font référence à Saint-Kitts et Nevis.
II. Situation économique
Saint-Christophe-et-Niévès est un pays constitué de deux îles dont l’économie est caractérisée par son tourisme dominant, son agriculture et son industrie manufacturière légère. Le sucre était l’activité économique principale de l’île jusque dans les années 70. Puis, les coûts de production élevés, le prix faible du marché mondial et les efforts du gouvernement pour réduire la dépendance de la culture du sucre ont conduit peu à peu à une diversification importante du secteur agricole.
En 1998, le cyclone Georges a provoqué environ 445 millions de dollars de dégâts et a freiné la croissance du PNB pour l’année.
En 2005, la culture du sucre a été arrêtée suite à l’ouragan qui a ravagé l’île. Le gouvernement a décidé de fermer la compagnie sucrière appartenant à l’État, qui avait subi énormément de pertes et qui avait grandement contribué au déficit budgétaire du pays. De ce fait, beaucoup de champs de cannes ont été brûlées pour faire place à l’aménagement du territoire, en particulier sur le côté nord de l’île, dans les départements de Saint John Capisterre et Christchurch.
L’agriculture, le tourisme, le secteur manufacturier d’exportation et les secteurs bancaires sont en cours de développement et occupent désormais le rôle le plus important dans l’économie du pays. Il faut savoir que la croissance du secteur du tourisme est devenue la principale source de rémunération pour le pays.
a) Données économiques
PIB : 743 M US$ (2013)
PIB par habitant (2013) : 12 728 US$
Taux de croissance (2013): 1,6 % est un chiffre encourageant pour un pays qui a dû se restructurer et en plein développement
Dette publique totale (2012) : 150 % du PIB ce qui représente 800 millions $
Principaux clients (2012) : Etats-Unis 84,7 % ; Union européenne 5,2 % ; Antilles néerlandaises 2,4 %
Principaux fournisseurs : Etats-Unis 61,1 %, Trinité-et-Tobago 11,5 %, Union européenne 6,5 %, Japon 3 %
Atouts : Contrairement aux autres iles des Caraïbes, le taux de chômage est particulièrement faible
Faiblesses : Le taux d’endettement est très élevé
b) Secteur touristique
Le tourisme représente une forte proportion du PIB. Le secteur a souffert de la crise économique mondiale en 2008, peu avant que la crise n’éclate. Après avoir essuyé une nouvelle diminution de 26,8% du nombre de touristes de séjour en 2009, le secteur a enregistré des augmentations de 3,3% en 2010 et de 5,9% en 2011.
Les autorités prévoient à ce que davantage de touristes se rendent dans le pays à court terme en raison de l’ouverture prévue de nouveaux établissements hôteliers et de l’accroissement du nombre de vols hebdomadaires à destination de Miami notamment.
L’ouverture du nouveau port de plaisance a pour but d’attirer le maximum de touristes voyageant en yacht. En effet, le tourisme de yachting est extrêmement important en raison des recettes qu’il engendre.
Le nombre de débarquements de croisiéristes est en progression depuis 2008. Le gouvernement prévoit que plus de 700 000 voyageurs débarqueront dans le pays durant la saison 2014/2015. En 2012, les dépenses totales des visiteurs s’élevaient à plus de 95 millions de dollars EU. Saint-Kitts-et-Nevis accueille des touristes originaires des États-Unis (64,2% du total en 2012), des autres pays des Caraïbes (16,6%), du Royaume-Uni (7,7%) et du Canada (6,8%).
Les autorités continuent leurs efforts afin d’attirer des investissements dans les installations et l’infrastructure touristique, et en particulier pour satisfaire leur clientèle haut de gamme. Ainsi, un terminal pour jets privés a été construit à l’aéroport international R.L. Bradshaw International. De plus, dans le cadre du projet de Kittitian Hill, un hôtel de 85 chambres a été construit et un parcours de golf de 18 trous a été installé. De même, dans le cadre du projet de Christophe Harbour, l’aménagement d’un port de plaisance et la construction d’un complexe de villas sont en cours.
c) Secteur manufacturier
Le secteur manufacturier, y compris l’industrie alimentaire, a contribué au PIB à hauteur de 10,6% en 2012. Ce chiffre, qui avait diminué, s’est accrue par la suite. En effet, l’arrêt de la production de sucre étant compensé par le développement des industries légères et notamment par la fabrication de composants électroniques.
Saint-Kitts-et-Nevis est le premier exportateur de l’OECO vers les États-Unis pour les marchandises, et spécialement les produits manufacturés. Cependant, le secteur reste trop concentré sur des industries légères comme les boissons alcooliques et non alcooliques et les pâtes alimentaires, dont la production est destinée essentiellement au marché intérieur, ce qui nuit à leur développement.
d) Secteur financier
On dit que Saint Kitts est la capitale financière des Caraïbes grâce à la présence de nombreux organismes gouvernementaux comme l’Eastern Caribbean Central Bank, Eastern Caribbean Securities Exchange. De plus, l’environnement offshore (une société offshore, est une société exempte d’impôts) est de plus en plus présent et est propice aux investissements.
e) Le secteur bancaire
Ce secteur est très important puisque les actifs représentent plus de 350% du PIB et 20% du total de l’actif du secteur bancaire des pays de l’OECO. Six banques commerciales y sont dénombrées, deux locales et quatre canadiennes (Scotiabank, CICB, RTTB et Bank of Canada).
Pour sa part, le secteur financier non-bancaire est composé de quatre coopératives de crédit (les actifs représentant 10% du PIB) et de seize compagnies d’assurance (45% du PIB).
f) Système fiscale à Saint-Kitts :
Les particuliers ne sont pas imposables. Les sociétés dites « agréées » bénéficient d’une exonération totale d’impôts sur les bénéfices pendant quinze ans. Il faut savoir que l’impôt sur les sociétés est de 35% sur les bénéfices nets. Cet impôt ne s’applique pas aux sociétés exemptes ou à des entreprises qui se sont vu accorder un avantage fiscal.
Le « Companies Act » datant de 1996 introduit le concept de sociétés ordinaires et de sociétés exemptes. Les sociétés qui sont exemptes n’ont pas le droit de mener des activités commerciales avec des sociétés résidentes mais elles sont exonérées d’impôts. Les sociétés ordinaires peuvent mener des activités commerciales localement mais sont soumises à l’impôt.
III. Politique extérieure
ASSEMBLEE GENERALE DE L’ONU septembre 2014
L’Assemblée générale des Nations unies est un des six organes principaux de l’ONU. Elle a un rôle consultatif pour les questions touchant au maintien de la paix et à la sécurité internationale.
Intervenant : M. Patrice Nisbett, Ministre des Affaires étrangères de Saint-Kitts-et-Nevis
Résumé de l’intervention de Patrice Nisbett :
Saint Kitts et Nevis est le leader des caraïbes en matière d’investissement direct à l’étranger grâce à son secteur touristique et son secteur manufacturier. Mais Saint Kitts est vulnérable de part le choc économique et environnemental. Son niveau d’endettement est très important et sa dette publique élevée. La difficulté des facteurs climatiques rend impossible le développement durable. Les changements climatiques comme les inondations, la sécheresse, et l’élévation du niveau de la mer, provoquent des effets néfastes sur l’économie du pays. Monsieur Nisbett nous informe qu’autrefois le pays avait de fortes relations avec la Chine et Taiwan. Aujourd’hui, Saint Kitts souhaite que cette relation persiste, notamment dans le secteur de l’énergie renouvelable grâce à l’installation d’usines qui fabriqueraient des panneaux solaires. Enfin, le pays demande au président de l’ONU des aides mondiales pour le développement durable d’après 2015.
a) Politique commerciale :
La fin des activités sucrières de Saint Kitts et Nevis l’oblige à se donner encore plus de moyens pour atteindre ses objectifs. Les principaux objectifs de Saint Kitts et Nevis sont les suivants : Les dirigeants souhaitent ouvrir le pays au commerce international et également l’intégrer pleinement à l’économie mondiale. Si Saint Kitts et Nevis parvient à atteindre ses objectifs, alors cela lui permettra d’améliorer sa compétitivité et d’attirer les investissements directs à l’étranger (IDE).
Afin d’attirer les IDE dans des domaines spécifiques à savoir le tourisme, l’industrie manufacturière, les services financiers et l’informatique, le gouvernement a mis en place une politique de diversification.
Voici quelques exemples :
Un parc technologique a été créé afin de permettre la fourniture de services informatiques.
Saint Kitts et Nevis a pour objectif de créer une marque de tourisme et d’élargir ainsi son marché touristique.
Concernant le secteur manufacturier, des incitations fiscales sont mises en place afin d’accroître les exportations et pouvoir ainsi créer de nouveaux emplois.
b) Les partenaires commerciaux :
Les Etats-Unis sont le principal partenaire commercial de Saint-Kitts-et-Nevis. Ils étaient en 2012 la destination de 82% des exportations et l’origine de 67% des importations. Il y a donc une forte dépendance entre les deux pays. Cette dépendance s’explique en partie par un programme commercial préférentiel que l’on appelle IBC. Ce programme a vu le jour en 1982, lorsque les Etats-Unis proposèrent aux pays du bassin des Caraïbes une initiative particulière en leur faveur. Ce programme est régi par la loi de 1883 sur le redressement économique du Bassin des Caraïbes. Elle permet d’exporter en franchise de droits des produits manufacturés vers les Etats-Unis.
Les autres partenaires commerciaux par ordre d’importance sont Trinité et Tobago, l’Union Européenne, la Jamaïque et le Canada.
c) Flux d’échange et d’investissements :
EXPORTATIONS :
Les exportations de marchandises sont concentrées sur quelques produits manufacturés. Elles concernent majoritairement les machines et matériels de transport. Concernant les autres exportations ; le graphique ci-dessous permet de savoir ce que les produits représentent dans le totale des exportations.
IMPORTATIONS :
Il faut savoir que les importations sont plutôt diversifiées. Le graphique ci-dessous nous permet d’en prendre conscience.
FLUX D’INVESTISSEMENT :
Durant la période 2007-2012, l’investissement direct à l’étranger a totalisé 1,76 milliard de dollars EU. Les principaux flux d’investissements étrangers au cours de la période étaient destinés principalement dans les services de la construction, de l’implantation, de la reconstruction d’hôtels et de l’industrie électronique.
d) Relations internationales :
Même si Saint Kitts et Nevis représente au niveau international une économie fragile, le pays souhaite réussir à participer à l’Organisation Mondiale du Commerce. Saint-Kitts-et-Nevis est Membre de l’OMC depuis le 21 février 1996 et souhaite donc avoir un impact plus important sur les prises de décision.
Saint Kitts et Nevis est membre d’autres organisations, c’est un moyen pour elle de se faire entendre et d’acquérir plus de pouvoir. Depuis la création des Etats des Caraïbes Orientales en 1981 (Traité de Basseterre), Saint Kitts et Nevis est membre de cette organisation.
En 2008, le pays a ratifié le traité de l’union économique de l’OECO. L’objectif de l’organisation est de mettre en place une politique commune et de réaliser des économies d’échelle. C’est un enjeu important pour Saint Kitts et Nevis dans la mesure où, étant donné que le pays à un manque considérable de ressources, c’est un moyen pour lui d’améliorer son économie et d’acquérir plus de ressources.
Enfin, Saint Kitts et Nevis est également membre de la Communauté et du Marché Commun des Caraïbes depuis 1974. Le fait d’être membre de la CARICOM lui a permis de signé un certain nombre de traités bilatéraux avec les pays tels que la Colombie, le Costa Rica, Cuba, le Venezuela et la République dominicaine.
e) Les caraïbes et l’UE :
Depuis 1975, de profonds changements sont intervenus. En effet, la guerre froide est terminée, les économies asiatiques sont en pleine expansion, un nombre croissant de pays exportent des produits de base qui viennent concurrencer les produits des Caraïbes. Ainsi, de nouvelles possibilités en matière de services et de travail intellectuel s’offrent aux travailleurs qualifiés de la région. Pour cela, les relations entre les Caraïbes et l’Union européenne doivent impérativement être améliorées pour le bien être du pays notamment.
Le premier accord entre l’Union Européenne et les pays des Caraïbes prend ses racines avec l’accord de Lomé au Togo signé en 1975. Mais cet accord ne concerne pas que les pays des Caraïbes mais l’ensemble des pays membre du groupe ACP à savoir les pays d’Afrique, les pays des Caraïbes et du Pacifique. En 2000, à Cotonou au Bénin, un traité plus large est signé. Ce dernier s’accorde à définir quelles sont les modalités de coopération entre les pays de l’ACP et les pays membre de l’Union Européenne au niveau politique, commercial et dans le domaine du développement.
D’autres accords sont également en cours. On pense notamment aux négociations ACP et à l’Union Européenne qui souhaite mettre en place un arrangement de libre-échange. Ces accords portent le nom d’Accords de Partenariat Economique (APE). C’est là un autre moyen pour Saint Kitts et Nevis d’atteindre ses engagements. Il y a également le programme de Doha pour le développement, toujours en cours de négociations, qui souhaite offrir aux pays en développement de meilleures perspectives commerciales. Mais pour que tous ces accords soient entièrement favorables à Saint Kitts et Nevis, c’est également au pays de faire des efforts pour améliorer sa compétitivité et diversifier ses exportations.
Conclusion :
Pour conclure, nous pouvons dire que bien que Saint Kitts and Nevis soit confronté à diverses difficultés économiques en tant que petite économie vulnérable, ce dernier reste résolu à participer au système commercial mondial, notamment avec une politique de diversification et des accords et partenariats avec le reste du monde.
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